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Format : 1 CD Digipack Durée totale : 01:06:15
Enregistrement : 20-22/12/2022 Lieu : Coblence Pays : Allemagne Prise de son : Stereo
Label : Evil Penguin Référence : EPRC0053 EAN : 0608917724028 Code Prix : DM019A
Année d'édition : 2023 Date de sortie : 10/05/2023
Genre : Classique
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Carl Maria von Weber (1786-1826) Concerto pour clarinette n° 1, op. 73 Concerto pour clarinette n° 2, op. 74 Aria d'Agathe, extrait de "Der Freischütz" (Recomposition A.N. Tarkmann) Variations sur un thème de l'opéra "Silvana", op. 53 (arr. R. Schottstädt)
Roeland Hendrikx, clarinette Staatsorchester Rheinische Philharmonie Michel Tilkin, direction
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 Carl Maria von Weber (1786–1826) fut considéré comme le premier Romantique allemand et nous a laissé quelques oeuvres majeures : son opéra fantastique " Der Freischütz", quelques ouvertures, et deux concertos pour clarinette pour ne citer que les plus fameuses. Le thème, pour ne pas dire le but, de ce magnifique disque, est de démontrer la thèse que la clarinette (si bien-aimée de Weber) est avant tout un instrument lyrique — et une première preuve éclatante en est la re-composition de l’aria d’Agathe dans le Freischütz par le grand composeur-arrangeur Andreas Tarkman : une réussite absolue. Quant aux deux concertos, ils illustrent encore l’essence opératique de la clarinette ; Roeland Hendrikx a su en capter la virtuose polychromie aussi bien que la puissance et la profondeur, se faisant tour à tour rossinien et wagnérien. Une très belle version. Pour clore sa démonstration, un morceau bien connu des clarinettistes : les Variations sur un thème de Silvana (le premier opéra de Weber qui nous soit parvenu intact, dont Weber récupéra une aria non utilisée). À la présentation très soignée de la pochette s’ajoute un livret très instructif. Un très grand disque ! (Walter Appel)  This recording celebrates Carl Maria von Weber’s unrivalled talent to turn the clarinet into an opera diva, to make it talk, sing, cry and shine. But Belgian virtuoso Roeland Hendrikx also teams up with award-winning arranger Andreas Tarkmann and the Rheinische Philharmonie to solve a number of other riddles surrounding “the first German Romantic”. What was the division of labour between Weber and his clarinettist of choice, Heinrich Baermann? How much Baermann do we have to scrape off to meet the real Weber? And crucially, how much Tarkmann do we have to inject to find the full Weber?
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