Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791)
Quatuor à cordes n° 1 en sol majeur, K 80
Quatuor à cordes n° 2 en ré majeur, K 155
Quatuor à cordes n° 3 en sol majeur, K 156
Quatuor à cordes n° 4 en do majeur, K 157
Quatuor à cordes n° 5 en fa majeur, K 158
Quatuor à cordes n° 6 en si bémol majeur, K 159
Quatuor à cordes n° 7 en mi bémo majeur, K 160
Quatuor à cordes n° 8 en fa majeur, K 168
Quatuor à cordes n° 9 en la majeur, K 169
Quatuor à cordes n° 10 en do majeur, K 170
Quatuor à cordes n° 11 en mi bémol majeur, K 171
Quatuor à cordes n° 12 en si bémol majeur, K 172
Quatuor à cordes n° 13 en ré mineur, K 173
Quatuor à cordes n° 14 en sol majeur, KV 387
Quatuor à cordes n° 15 en ré mineur, K 412
Quatuor à cordes n° 16 en mi bémol majeur, KV 424
Quatuor à cordes n° 17 en si bémol majeur, K 458 "La Chasse"- Quatuor à cordes n° 18 en la majeur, K 464
Quatuor à cordes n° 19 en do majeur, KV 465 "Les Dissonances"
Quatuor à cordes n° 20 en ré majeur, K 499 "Hoffmeister"
Quatuor à cordes n° 21 en ré majeur, K 575
Quatuor à cordes n° 22 en si bémol majeur, K 589
Quatuor à cordes n° 23 en fa majeur, K 590

Armida Quartett

Peter-Philipp Staemmler, violoncelle
Martin Funda, violon
Johana Staemmler, violon
Teresa Schwamm, alto

En petit son, et souvent crépusculaire, les Armida auront enregistré entre 2015 et 2020 l’intégralité des Quatuors de Mozart. Objet de leur proposition dont la distance surprend, la nouvelle édition de Henle proclamant l’Urtext. Oui, mais lequel ? Si les quelques changements exposés par la nouvelle version doivent aboutir à une lecture aussi précautionneuse, s’abritant derrière les usages de l’interprétation historiquement informée pour le jeu d’archet mais guère pour les tempos ou les accents, mieux vaut l’oublier. Son court, gris trottoir, tout ici vise à une uniformité qui muselle le génie des grands quatuors, et ne trouve pas plus la fantaisie néo baroque des opus de jeunesse. On peut oublier, pour mieux retourner aux Berg et aux Hagen, à leurs visions, à leurs fantaisies…. (Discophilia - Artalinna.com) (Jean-Charles Hoffelé)

Mozart’s string quartet output can be easily divided into two groups: on the one hand, the thirteen early works written by a teenager, and the ten “celebrated” Viennese masterpieces on the other. Not a single movement in this impressive oeuvre could ever be described as insignificant; on the contrary. Mozart’s early string quartets are brimming with endless variety of imagination, with the pleasure of experimenting, and the sheer joy of music- making; meanwhile, each movement of the “ten celebrated quartets” (Alfred Einstein) is a unique masterpiece in its own right.