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Format : 1 CD Total Time : 00:47:12
Recording : 04-07/07/2022 Location : Varsovie Country : Pologne Sound : Studio / Stereo
Label : DUX Catalog No. : DUX1950 EAN : 5902547019505 Price Code : DM019A
Publishing Year : 2023 Release Date : 07/06/2023
Genre : Classical
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Karol Mikuli (1821-1897)Sept Mélodies pour voix et piano, op. 7 Es muss was Wunderbares sein Ich wollt', meine Schmerzen ergössen sich Das Veilchen Wandrer's Nachtlied Du bist mein Frühling Sehnsucht Barcarole Six Mélodies pour voix et piano, op. 16 Mondnacht Abschied Metamorphosen elfenreigen O Tannenbaum Der Pilger Six Mélodies pour voix et piano, op. 17 zur Freude will sich nicht gestalten Der Fichtenbaum Eine Blum' ist mir entsprungen Die Wasserrose Mir ist so ernst und feierlich Ratslose Liebe Cantate pour baryton et quintette à cordes "Die Reue", op. 30 Witold Zoladkiewicz, baryton Gabriela Machowska, piano Aleksander Knitter-Sikora, violon Jolanta Bartnik, violon Malgorzata Jamiolowska, alto Maciej Skowronsji, violoncelle Tomasz Opuchlik, contrebasse
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Compositeur, pianiste et chef d’orchestre, le polonais Karol Mikuli fut élève de Chopin avant de devenir son assistant. Il étudia également la composition auprès de Reicha et fit une notable carrière de pianiste concertiste et d’enseignant. Il reste aujourd’hui l’éditeur d’une édition fiable et documentée de l’œuvre de Chopin. Il est par ailleurs l’auteur d’un grand nombre de pièces pour piano, de mélodies, de quelques pages de musique de chambre et d’orchestre. Ce nouveau disque vient compléter une trop mince discographie consacrée essentiellement au piano. Trois cycles de mélodies et une rare cantate pour baryton et quintette à cordes. Il s’agit de très brèves mélodies (trop ?) chantées ci par le baryton Witold Zoladkiewiz accompagnée par le pianiste Gabriella Machowska. Dédicacées à des membres de la haute société polonaise, elles semblent infusées dans la poésie et la musique romantique allemandes et destinées au salon. Textes signés Heine, Goethe, Eichendorff et… Robert Burns ("Red red rose" devient ici "Ein Roslein Roth") et une musique qui évoque bien souvent Schubert ou Schumann mais aussi Liszt que Mikuli rencontra à Paris. On note une certaine inventivité et joliesse dans la partie piano et dans la ligne mélodique sans pour autant frôler le débordement laissant la voix libre au timbre un peu raide du baryton. La Cantate "Die Reue" op. 30 d’après Geibel est dédicacée à Brahms et porte de façon indicible son empreinte (Narrativité et vocalité un peu linéaire). (Jérôme Angouillant)
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