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Tout ce que vous ne savez pas sur Manuel M. Ponce ! Ce CD fait entendre des œuvres inédites de Manuel M. Ponce, un grand seigneur de la composition. Des œuvres passionnantes, synthèse entre un classicisme élégant et les recherches harmoniques typiques du XXème siècle. Ponce, peut-être un Ravel mexicain !  Né en 1882, le compositeur mexicain Manuel (Maria) Ponce possédait dès l’enfance un don inné pour la musique. Il restera quelques années au conservatoire de Mexico avant de continuer ses études musicales à Bologne puis à Berlin ville où il donne son premier récital à 24 ans. Il retourne finalement au pays pour y enseigner le piano et l’histoire de la musique. Chargé de collecter les mélodies traditionnelles de son pays par le gouvernement, Ponce contribuera à la préservation et au développement du patrimoine musical mexicain. Son œuvre s’efforce de préserver ce terreau national tout en y semant des éléments modernes. On lui connaît aujourd’hui son abondant corpus pour guitare (son amitié avec Segovia) et une partie de sa musique symphonique. Ce disque de musique de chambre complété d’un bouquet de mélodies offre un beau panorama d’œuvres inédites. Œuvres en un seul mouvement qui convoquent les instruments du quatuor avec parfois l’ajout du piano. Elles dégagent un charme immédiat dû à la richesse de leur texture harmonique et à leurs rythmes aussi entraînants qu’imprévisibles (Romanzeta, Scherzo). On y décèle des sources latines, espagnoles (De Falla) mais aussi françaises (Canto de las hadas), reflet de son séjour à Paris auprès de Paul Dukas ; un certain dédain du conformisme alla Poulenc et une belle verdeur d’expression (Cuatro evocationes). Les mélodies relèvent plus du folklore traditionnel (Tres Cancione archaicas). Très belle interprétation des solistes notamment de la soprano Gabriella Thierry qui rappelle l’inoubliable Victoria de Los Angeles. Même ingénuité, même douceur piquante. Un merveilleux disque. (Jérôme Angouillant) Manuel M. Ponce est né en 1882. Sa mère l’initie très tôt à la musique. Chose courante encore au XIXème siècle, le petit Manuel sait lire et écrire les notes avant même l’alphabet. Sa sœur lui donne ses premières leçons de piano à quatre ans, et à cinq ans, il écrit sa première œuvre, la Danse de la Rougeole. Après des études au Conservatoire National de Musique de Mexico, il décide de faire le voyage en Europe où il étudie notamment le piano avec Martin Krause, élève de Liszt et futur professeur de Claudio Arrau ou Rosita Renard. Il retourne ensuite au Mexique où il mènera une carrière de professeur. Quelque temps plus tard, ressentant le besoin d’affermir ses techniques de composition, il part étudier à Paris avec Paul Dukas et c’est dans cette capitale européenne de la culture qu’il rencontre Andrés Segovia. De là se noue une amitié durable et sincère, à l’origine de nombreuses œuvres. Ponce doit être considéré comme l’un des compositeurs non-européens les plus importants de la première moitié du XXème siècle, au même titre que Villa-Lobos. Le disque ici présent est un portrait riche et représentatif de Ponce : musique de chambre alternent avec des cycles de mélodies pour voix et ensemble. La musique de Ponce frappe par son élégance classique. Elle est poignante quand elle devient expression nostalgique d’un paradis perdu. (Pierre-Yves Lascar) Manuel M. Ponce est né en 1882. Sa mère l’initie très tôt à la musique. Chose courante encore au XIXème siècle, le petit Manuel sait lire et écrire les notes avant même l’alphabet. Sa soeur lui donne ses premières leçons de piano à quatre ans, et à cinq ans, il écrit sa première œuvre, la Danse de la Rougeole. Après des études au Conservatoire National de Musique de Mexico, il décide de faire le voyage en Europe où il étudie notamment le piano avec Martin Krause, élève de Liszt et futur professeur de Claudio Arrau ou Rosita Renard. Il retourne ensuite au Mexique où il mènera une carrière de professeur. Quelque temps plus tard, ressentant le besoin d’affermir ses techniques de composition, il part étudier à Paris avec Paul Dukas et c’est dans cette capitale européenne de la culture qu’il rencontre Andrés Segovia. De là se noue une amitié durable et sincère, à l’origine de nombreuses œuvres. Ponce doit être considéré comme l’un des compositeurs non-européens les plus importants de la première moitié du XXème siècle, au même titre que Villa-Lobos. Le disque ici présent est un portrait riche et représentatif de Ponce : musique de chambre alternent avec des cycles de mélodies pour voix et ensemble. Connu dans le monde entier notamment grâce à ses œuvres dédiés à la guitare et plus particulièrement à son ami d’une vie, Andrés Segovia, Ponce est également un grand compositeur de mélodies et de musique de chambre. Ce disque est un hommage rendu au compositeur par quelques uns de ses compatriotes, parmi les plus remarquables représentants de la scène musicale mexicaine actuelle.
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Catalogue 
