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Lyrita édite un CD regroupant trois concertos pour violoncelle dont deux écrits au XXIe Siècle. Celui de John Joubert dont les deux mouvements commencent par une cadence du soliste, tire à la ligne, oubliez le et préférez lui le geste expansif du Concerto de Christopher Wright. Il écrivit l’œuvre en écho aux émeutes raciales qui secouèrent l’Angleterre en 2011. Entre ces deux partitions absolument dissemblables, un roc, le Concerto pour violoncelle que Robert Simpson écrivit à l’intention de Raphael Wallfisch en 1991, partition majeure de son ultime manière où le principe de variation unifie le discours. Ici comme dans les deux autres partitions, Walfisch le découvreur est à son meilleur, archet affuté qui fait passer le violoncelle dans un nouveau siècle avec brio (Discophilia, Artalinna.com). (Jean-Charles Hoffelé)  Among the most versatile of contemporary performers, cellist Raphael Wallfisch is especially celebrated as a passionate advocate of British music. Concertos by Elgar, Finzi and Walton lie at the heart of his repertoire, which also includes concertante works by Arnold, Bax, Bliss, Havergal Brian, Britten, Alan Bush, Geoffrey Bush, William Busch, Delius, Dyson, Foulds, Holbrooke, Ireland, Maw, Moeran, Andrjez Panufnik, Rawsthorne, Rubbra, Lionel Sainsbury and Hugh Wood. He has expanded this genre by commissioning and premiering an impressive and eclectic array of new pieces by, among others, Richard Rodney Bennett, Sir Peter Maxwell Davies, Kenneth Leighton, James MacMillan, Robert Saxton, Giles Swayne, John Tavener and Adrian Williams. All three items presented on this disc were written especially for Wallfisch.
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