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Diapason de octobre 2023 Critique de Olivier Fourés Page n° 100
Classica de septembre 2023 Critique de Jérémie Bigorie Page n° 96
Format : 1 CD Durée totale : 01:08:26
Enregistrement : 13-17/10/2022 Lieu : Berlin Pays : Allemagne Prise de son : Studio / Stereo
Label : Hänssler Classic Référence : HC22084 EAN : 0881488220841 Code Prix : DM018A
Année d'édition : 2023 Date de sortie : 10/05/2023
Genre : Classique
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Francesco Durante (1684-1755) Concerto pour cordes et basse continue en sol mineurLeonardo Leo (1694-1744) Concerto pour 4 violons et basse continue en ré majeurAntonio Vivaldi (1678-1741) Concerto pour 3 violons, cordes et basse continue en fa majeur Concerto pour 4 violons, alto et basse continue en si bémol majeurPietro Locatelli (1695-1764) Concerto pour 4 violons, cordes et basse continue en fa majeur, op. 4 n° 12Giovanni Battista Sammartini (1700-1765) Concerto pour 4 violons, cordes et basse continue en la majeur
Berliner Barock Solisten Reinhard Goebel, direction
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 Ce disque est un véritable festin pour les amateurs d’œuvres concertantes pour violon du baroque italien. Reinhard Goebel suivant les traces des Leonhardt, Harnoncourt, Koopman a fait découvrir à plusieurs générations de mélomanes la Musique Baroque sur instruments d’époque (Heinichen, Telemann, Bach…). Il continue ses recherches avec les Berliner Barok Solisten après la dissolution de Musica Antica Köln. Ce disque pouvait faire redouter une énième redite du concerto pour 4 violons de l’Estro Armonico de Vivaldi. Que Nenni ! Voici des œuvres peu connues de compositeurs italiens de premier plan et violonistes virtuoses ayant chacun leur style particulier (avec en première mondiale un superbe concerto de Sammartini un brin galant). Ces œuvres concertantes écrites à la même époque montrent leurs différences stylistiques et la richesse de ce baroque italien rivalisant de séduction et de spiritualité. Les violonistes du BBS sont tour à tour solistes. Ils stupéfient par leur élégance et leur engagement. Les différences de timbre de leurs instruments apportent sans conteste une richesse sonore sans pourtant perturber l’unité sonore exigée par une écriture où la discipline de l’ensemble le dispute à la liberté de chaque interprète. (Jean-Noël Regnier)

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