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Format : 1 CD Durée totale : 01:06:12
Enregistrement : 1975-1987 Lieu : Saint-Pétersbourg Pays : Russie Prise de son : Stereo
Label : Northern Flowers Référence : NFPMA99146 EAN : 5055354481468 Code Prix : DM016A
Année d'édition : 2021 Date de sortie : 09/06/2021
Genre : Classique
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Boris Tichtchenko (1939-2010) Concerto pour violon n° 2, op. 84 "Violin Symphony" Organ Inventions, op. 27 "Yuefu", trois chœur a cappella sur des textes du folklore chinois, op. 14
Sergey Stadler, violon Nina Oksentyan, orgue Leningrad Chamber Choir Valentin Nesterov, direction Leningrad Philharmonic Orchestra Vasily Sinaysky, direction
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![](images/spacer.gif) Sergei Stadler venait de remporter le Concours Tchaikovski, immédiatement Boris Tishchenko décida de lui écrire un concerto pour violon, son deuxième. Partition monumentale, dépassant les cinquante minutes, quatre mouvements où la veine lyrique et inquiète du compositeur voisinera avec les fureurs diaboliques des mouvements vifs. La grande structure en arche expose une maitrise formelle impressionnante mais elle ne peut cacher les nombreuses citations démarquées des œuvres de Chostakovitch, principalement de son Premier Concerto pour violon qui berce tout le climat de l’Allegro moderato comme l’humour féroce de l’Allegro. Le recours fréquent à la passacaille est une autre donnée d’une œuvre qui constitue un hommage transparent à son professeur tant aimé. La création à la salle des colonnes de la philharmonie de Leningrad fit grand bruit, l’œuvre était si athlétique que le violoniste dût s’absenter par deux fois pour changer des cordes qui n’avaient pas résister à l’écriture impitoyable de ce concerto-monde. Deux ans plus tard Sergei Stadler et Vasili Sinaïsky reprenaient l’œuvre, la radio captant ce qui reste le seule enregistrement de cette partition majeure du répertoire concertant de la fin du XXe Siècle. Qui aura l’audace de la reprendre aujourd’hui ? Compléments surprenants, entre les trois Inventions tirées de l’opus 27 écrit pour le mythique organiste de Leningrad Isaiah Braudo et jouées ici par son élève, œuvre expérimentale dont on aimerait tenir tout le cahier, et les trois brefs Chants folkloriques chinois pour chœur, d’une délicatesse d’écriture, d’une finesse de traits qui donnent envie d’en savoir plus les œuvres chorales de Tishchenko. Furent-elles une source d’inspirations pour les compositeurs baltes d’aujourd’hui ? Probable. (Discophilia - Artalinna.com) (Jean-Charles Hoffelé)
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