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Weber : Der Freischütz. Schager, Nylund, Fally, Held, Netopil, Räth.
Classica de juin 2022
Critique de Pierre Flinois
Page n° 120
Format : 1 Blu-ray Disc
Durée totale : 02:23:00

Enregistrement : 01/06/2018
Lieu : Vienne
Pays : Autriche
Prise de son : Live / PCM Stereo + DTS-HD Master Audio 5.0
Rapport de forme : 16:9 / 1080i
Sous-titres : DE, EN, FR, KO, JP

Label : C Major Entertainment
Référence : CM760104
EAN : 0814337016739
Code Prix : DM040

Année d'édition : 2022
Date de sortie : 02/02/2022

Genre : Classique
Carl Maria von Weber (1786-1826)
Der Freischütz, opéra en 3 actes

Andreas Schager, ténor (Max)
Camilla Nylund, soprano (Agathe)
Daniela Fally, soprano (Ännchen)
Alan Held, basse-baryton (Caspar)
Adrian Eröd, baryton (Ottokar)
Clemens Unterreiner, baryton (Cuno)
Albert Dohmen, basse-baryton (Hermit)
Gabriel Bermudez, baryton (Kilian)
Hans Peter Kammerer, baryton (Samiel)
Chor der Wiener Staatsoper
Thomas Lang, direction
Orchester der Wiener Staatsoper
Tomas Netopil, direction
Christian Räth, mise en scène

Passons sur l’art d’élucubrer de Christian Rath : son Freischutz sans queue ni tête, avec quelques allégeances au Regie-theater – fatalement Max en quasi vieux barbon – ne se regarde pas, on doit en subir les grosses ficelles, ou bien non. Coupez l’image, et écoutez seulement l’orchestre de forêt noire et de cieux mozartiens que distille Thomas Netopil pour une distribution parfaite. Andreas Schlager est bien dans la typologie exacte de Max qu’on a trop dilapidée en l’offrant à des voix mozartiennes, alors qu’il y faut des heldentenor : le souvenir de l’héroïsme d’un Aldenhoff passe dans le timbre d’airain de Schlager. Formidable l’Agathe de Camilla Nylund face à une Ânchen impayable de mutine audace : ah ça, il faut entendre (et d’ailleurs la voir, pour elle on peut remettre l’image) Daniela Failly. Terrible Samiel selon Hans Peter Kammerer, des silhouettes saisissantes (Eröd en Ottokar, Held pour Kaspar). Vos oreilles vous suffiront. (Discophilia - Artalinna.com) (Jean-Charles Hoffelé)

Dès les premières mesures de l’ouverture de ce Freischütz (1821) de Carl Maria von Weber (1786-1826), le velours des cors, la rondeur des cordes graves et la chaleur des bois, annoncent un orchestre de l’opéra de Vienne sous la baguette du jeune chef tchèque Tomáš Netopi, à la noce, au sens propre comme au figuré… La tradition est bien respectée pour cet opéra fantastico-romantique, entre les singspiel du cousin Mozart et les premiers drames du compatriote Wagner, excusez du peu ! Regrettons cependant que ce chef-d’œuvre reste trop souvent dans les cartons des maisons d’opéra, car, même quand les metteurs en scène et scénographes branchouilles se lâchent, les images sont belles et tout fonctionne à merveille. Dans cette production de 2018, mise en abyme plus que déjà vue de l’opéra dans l’opéra, nous oscillons entre XIXème romantique pour les solistes, belle époque austro-hongroise décadente pour le chœur, postmodernisme décoratif et maquillage steampunk tendance, bref, comme si nous sortions d’un cabinet d’analyse de rêves freudiens. N’est-ce pas la question de la cavatine d’Agathe, sublime Camilla Nylund, à l’acte III ? Si les allusions boîtes de nuit gay-interlope de la valse du I ou les tendances lesbiennes de la cousine Ännchen, géniale Daniela Fally, sont d’une originalité à couper le souffle - petit trait d’humour pour ceux qui n’auraient pas compris - c’est à croire qu’aujourd’hui les mises en scène « historiquement informées » représentent l’avant-garde ultracontemporaine… Alors ce pauvre et tout gentil Max - dont la vie antérieure remontant à la surface, devait être une réincarnation de Weber lui-même ! - Andreas Schager, au-delà d’être un jeune premier vieux et moche est bien un incroyable heldentenor et Kaspar, le méchant méchant - il est très, très méchant !!! - une vraie basse chaleureuse, pour ce que nous pourrions nommer un bel oxymore opératique ! Vous l’aurez compris, nous n’y comprenons rien - absolument rien - mais tout est GENIAL ! Ouf, j’en ai fini… Non ! Il manque juste un petit « merci Carl Maria » ! (Florestan de Marucaverde)

Christian Räth’s inspired staging of Der Freischütz, Weber’s seminal Romantic opera, at the Haus am Ring stands out due to the bold set and costume design by Gary McCann. It was “a festival of singers, that the young conductor Tomas Netopil underscored with the State Opera Orchestra with warmth. Andreas Schager, the immense Heldentenor, as Max, Camilla Nylund as the touching Agathe - a magnificent pair. The other roles were also well cast…“ (Salzburger Nachrichten)

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