Lowell Liebermann (1961-)
Viscera

Claude Debussy (1862-1918)
L'après-midi d'un faune

Georges Bizet (1838-1875)
Carmen (arr. M. Yates)

Piotr Ilyitch Tchaikovski (1840-1893)
Pas de deux

Laura Morera
Marianela Nuñez
Ryoichi Hirano
Orchestre du Royal Opera House
Emmanuel Plasson, direction
Liam Scarlett, chorégraphie (Viscera)
Sarah Lamb
Vadim Muntagirov
Orchestre du Royal Opera House
Emmanuel Plasson, direction
Jerome Robbins, chorégraphie (L'Après-midi d'un faune)
Marianela Nuñez
Carlos Acosta
Federico Bonelli
Matthew Golding
Orchestre du Royal Opera House
Martin Yates, direction
Carlos Acosta, chorégraphie (Carmen)
Iana Salenko
Steven McRae
Orchestre du Royal Opera House
Emmanuel Plasson, direction
George Balanchine, chorégraphie (Tchaikovski pas de deux)

Dans sa nouvelle production de Carmen, Carlos Acosta, à la fois en tant que chorégraphe et danseur, exploite les thèmes dramatiques essentiels de l’amour, de la jalousie et de la vengeance. Liam Scarlett empreinte le sublime concerto pour piano n° 1 de Lowell Liebermann comme source d’inspiration pour sa chorégraphie audacieuse de Viscera. La partition imagée de Debussy sert d’inspiration à l’Après-midi d’un Faune de Jerome Robbins, qui peint deux danseurs aussi absorbés par leurs propres réflexions qu’ils sont attirés l’un vers l’autre. Quant à George Balanchine, dans son Pas de deux de Tchaïkovski, il utilise des fragments de musique composée pour la production de 1877 du Lac des cygnes dans une performance inoubliable de bravoure et de technique de ballet.

Carlos Acosta focuses on the dramatic essentials of love, jealousy and revenge in his new production of Carmen. As well as choreographing the production, Acosta dances a lead role. Liam Scarlett has used Lowell Liebermann’s thrilling Piano Concerto No.1 as the inspiration for his similarly audacious choreography in Viscera. Debussy’s evocative score is the inspiration for Jerome Robbins’s Afternoon of a Faun, which depicts two ballet dancers as absorbed by their own reflections as they are attracted to each other. George Balanchine’s Tchaikovsky pas de deux uses a fragment of music composed for the 1877 production of Swan Lake for an eight minute display of ballet bravura and technique.