Felix Mendelssohn Bartholdy (1809-1847)
On Wings of Song, op. 34 n° 2 (arr. J. Heifetz)
Extraits du Concerto pour violon en mi mineur, op. 64
Romance sans paroles, op. 19 n° 1 (arr. F. Kreisler)

Niccolo Paganini (1782-1840)
Caprice n° 17
Moto perpetuo (arr. F. Kreisler)

Fritz Kreisler (1875-1962)
Tambourin chinois
Liebeslied

Piotr Ilyitch Tchaikovski (1840-1893)
Extraits du Concerto pour violon en ré majeur, op. 35

Antonín Dvorák (1841-1904)
Danse slave n° 10 (arr. F. Kreisler)

William Kroll (1901-1980)
Banjo and Fiddle

Edouard Lalo (1823-1892)
Finale de la Symphonie Espagnole, op. 21

Leopold Godowsky (1870-1938)
Alt Wien (arr. J. Heifetz)

Johannes Brahms (1833-1897)
Contemplation, op. 105 n° 1 (arr. J. Heifetz)

Camille Saint-Saëns (1835-1921)
Introduction & Rondo Capriccioso, op. 28
Havanaise, op. 83

Alexandre Glazounov (1865-1936)
Finale du Concerto en la mineur, op. 82

Henryk Wieniawski (1835-1880)
Caprice en la mineur (arr. F. Kreisler)
Polonaise ne ré majeur

Frédéric Chopin (1810-1849)
Nocturne en do dièse mineur, op. posth. (arr. N. Milstein)

Manuel de Falla (1876-1946)
Danse Espagnole "La Vida Breve" (arr. F. Kreisler)

Pablo de Sarasate (1844-1908)
Zigeunerweisen, op. 20
Fantaisie "Carmen", op. 25

Carl Engel (1883-1944)
Sea Shell (arr. E. Zimbalist)

Johann Evangelist Brandl (1760-1837)
the Old Refrain (arr. F. Kreisler)

Alexandre Scriabine (1872-1915)
Etude en ré bémol majeur, op. 8 n° 10 (arr. J. Szigeti)

Henri Vieuxtemps (1820-1881)
Extraits du Concerto pour violon n° 5

Claude Debussy (1862-1918)
La fille aux cheveux de lin (arr. A. Hartmann)

Moritz Moszkowski (1854-1925)
Guitarre (arr. P. de Sarasate)

Sir Edward Elgar (1857-1934)
La Capricieuse, op. 17

Ottokar Novácek (1866-1900)
Moto perpetuo

Michael Rabin, violon
Bell Telephone Orchestra
Donald Voorhees, direction

Fatalement, chaque note jouée par Michael Rabin, qui se laissa mourir de dépression dans sa trente-sixième année, est précieuse, enfin, ses disques surtout. Il y surveillait son art, ajoutait au brio et à la facilité cette conscience des œuvres que le studio expose. Au long des "Bell Telephone Hours", diffusées sur toutes les States, vous trouverez le virtuose, formidable toujours, mais tenu au format bref qui n’offrira que des mouvements de Concertos (Final du Mendelssohn, fabuleux, on ne le voit littéralement pas passer, comme celui du Tchaikovski !). Les pièces de genre sont délicieuses ("La capricieuse d’Elgar, "Le Tambourin chinois" de Kreisler) le sirop de certains arrangements un brin moins, c’est la loi du genre, mais l’Introduction et Rondo Capricioso de Saint-Saëns, le Premier mouvement du Tchaikovski montrent soudain sous la magie du virtuose, ce violon qui chante dans une ivresse intemporelle, témoignages d’un art resté sans postérité, saisi dans l’instant, infiniment précieux, et splendidement refourbi. (Discophilia - Artalinna.com) (Jean-Charles Hoffelé)