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Diapason de octobre 2014 Critique de Jérôme Bastianelli Page n° 104
Format : 1 CD Durée totale : 01:13:40 Prise de son : Stereo
Label : Hyperion Référence : CDA68059 EAN : 0034571280592 Code Prix : DM022A
Année d'édition : 2014 Date de sortie : 01/07/2014
Genre : Classique
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Rondo capriccioso, op.14 3 Fantaisies ou caprices, op.16 Fantaisie, op.28 "Sonate écossaise" Romances sans paroles...
Howard Shelley, piano
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Le Rondo Capriccioso, c’est de la musique pour "Puck", et ainsi la joue Howard Shelley, doigts ailés mais chant espressivo, avec toujours cette mesure qui rend son Mendelssohn si urbain. Trop peut-être pour les paysages de la "Sonate écossaise", certes, mais tant de gout pour la paraphrase sur "The Last Rose of Summer", ce toucher d’aquarelliste pour deux cahiers de "Romances sans paroles", et jusqu’à cette estompe, ce sfumato pour le Gondolier, rappellent quel peintre il sait être dans les raffinements d’un univers d’un univers qu’on peut entendre plus fantasque, bémol mineur. Car se souvenir autant d’Ignace Friedman dans ce Gondolier, et dans d’autres Lieder, dit assez quel modèle cet encyclopédiste assume dans son Mendelssohn, cycle au long court qui, après le modèle laissé par Reina Kyriakou, en aura laissé un second, plus complet, plus parfait, aussi poétique, aussi touchant. (Discophilia - Artalinna.com) (Jean-Charles Hoffelé)
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