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Format : 1 CD Durée totale : 01:23:48
Label : Biddulph Référence : BID85045 EAN : 0744718504527 Code Prix : DM020A
Année d'édition : 2024 Date de sortie : 09/04/2025
Genre : Classique
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Franz Schubert (1797-1828) Rondo de la Sonate pour piano en ré majeur (arr. C. Friedberg) L'Abeille, op. 13 n° 9Johannes Brahms (1833-1897) Danse hongroise n° 5 en sol mineur (arr. J. Joachim)Antonín Dvorák (1841-1904) Danse slave n° 1 en sol mineur (arr. F. Kreisler)Piotr Ilyitch Tchaikovski (1840-1893) Valse sentimentale, op. 51 n° 6 (arr. D. Grunes)Igor Stravinski (1882-1971) Danse russe, extrait de "Pétrouchka" (arr. S. Dushkin)Jeno Hubay (1858-1937) Le Zéphyr, op. 30 n° 5Hector Berlioz (1803-1868) Rêverie et Caprice, op. 8Béla Bartók (1881-1945) Portrait n° 1, op. 5Arcangelo Corelli (1653-1713) Sonate en ré mineur "La Follia" (arr. H. Leonard)Ludwig van Beethoven (1770-1827) Romance n° 1 en sol majeur, op. 40Alban Berg (1885-1935) Concerto pour violon "A la mémoire dun Ange"
Joseph Szigeti, violon Philharmonia Orchestra Constant Lambert, direction The WOR Symphony Orchestra Alfred Wallenstein, direction NBC Symphony Orchestra Dimitri Mitropoulos, direction
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 Un seul enregistrement suffirait à rendre justice au génie de Joseph Szigeti, sa captation en concert pour la NBC du "Concerto à la mémoire d’un Ange" où son archet rapsode s’enflamme dans le brasier expressionniste que lui impose Dimitri Mitropoulos, rencontre fulgurante que le disque aurait dû saisir. Mais non, le chef grec l’enregistra avec le créateur, Louis Krasner, violoniste impeccable auquel manquait ce feu intérieur que Szigeti dispense ce soir de 1945 avec une ivresse morbide, vrai portrait sonore de Manon Gropius. Fabuleuse version, magistralement restituée par Dave Hermann. Des raretés s’ajoutent, prises dans des 78 tours commerciaux parfois peu courus : historique simplement le Premier Portrait de Bartok sous la baguette de Constant Lambert (Columbia 1946). Puis des live dont le plus étonnant reste une "Folia" de Corelli assez loin de l’originale, et ces faces gravées lors de concerts aux armées, alors que l’archet de Szigeti était encore indemne du vibrato qui le hantera plus tard. Irrésistible cette "Danse russe" de "Petrouchka", et ce "Zephir" de Hubay si virtuose, si "Kreislerisé", qui l’eut cru possible sous l’archet de Szigeti… (Discophilia - Artalinna.com) (Jean-Charles Hoffelé)

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