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Format : 1 CD Durée totale : 01:01:01 Prise de son : Stereo
Label : Carus Référence : CAR83300 EAN : 4009350833005 Code Prix : DM021B
Année d'édition : 1998 Date de sortie : 09/03/2007
Genre : Classique
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Georg Philipp Telemann (1681-1767) Sonate en si, TWV 44:34 Partie polonoise en si, TWV 39:1 Sonate en fa, TWV 44:32 Sonate en sol, TWV 44:33 Partie en sol mineur, TWV 39:2 Sonate en mi, TWV 44:5
Freiburger Barockorchester Consort
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Quatre sonates à l’italienne (sonata da chiesa) pour quintettes à cordes composées par le jeune Telemann, témoignant du niveau fort impressionnant de ses connaissances, de ses expériences et de son savoir-faire en tant que compositeur, ainsi que deux partitas pour deux luths, composées à l’origine pour des instruments à cordes et gardées jusqu’à nos jours dans la tablature de luth.  La Cantate de la Passion « Ein Lämmlein geht und trägt die Schuld » était très appréciée à son époque et largement diffusée après la mort de Homilius, entre le 18ème et le 19ème siècle. Elle doit sa notoriété au fait que la partition intégrale fur gravée chez Breitkopf à Leipzig en 1775 – un privilège rare dont n’avait joui auparavant au 18ème siècle qu’une seule Passion, la cantate Der Tod Jesu de Carl Heinrich Graun. Le texte suit les événements de la Passion tout en étant beaucoup plus émotionnel et personnel que celui des passions-oratorios. Tout à fait dans le sens de l’époque des Lumières, l’Homme est au cœur de l’action en tant que chrétien croyant. L’histoire de la Passion est l’occasion de réfléchir sur le péché humain et la rédemption par la mort du Christ sur la croix.  Gottfried August Homilius est considéré comme étant le Maître de chapelle le plus significatif et prolifique durant le XVIIIe siècle. Ses œuvres trouvaient une forte reconnaissance dans la ville de Dresde mais également en dehors de la capitale saxonne. Sont conservés plus de 60 motets, 180 cantates d’église, 11 oratorios, 4 magnificats, 2 recueils d’œuvres chorales, quelques chants francs-maçons et de nombreuses compositions pour orgue. Bien qu’il ait été le cantor de la Kreuzkirche, à cause de sa destruction il a passé les trois quart de sa vie professionnelle à la Frauenkirche, où il exerçait déjà en tant qu’organiste depuis 13 ans.
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