Une révélation, la redécouverte d’un compositeur majeur du courant néo-classique américain ! Pour la toute première fois en disque, grâce à l’infatigable Marin Alsop, la musique d’Edward J. Collins ravira les amateurs de Copland, Gershwin ou bien Dukas, Duparc ou Franck. Rien de révolutionnaire, sans être pour autant un épigone, cet ancien élève de Bruch et Humperdinck nous a laissé de la bonne, de la très bonne musique, extrêmement maîtrisée, très bien orchestrée et d’une beauté mélodique… séduisante. / A découvrir d’ex-trê-me urgence ! ! !  Né à Joliet, Illinois, Collins a étudié le piano avec Rudolf Ganz à Chicago et la composition avec Max Bruch et Engelbert Humperpdinck à Berlin. Son début berlinois en 1912 en tant que pianiste et des concerts ultérieurs aux Etats-Unis et en Europe lui ont valu de vives éloges de la critique. Collins fut engagé en tant que chef assistant pour le Bayreuth Festival en 1914 ; cet engagement pris fin avec la 1ère guerre mondiale et son service dans l’US Army. Après la guerre, Collins commença une carrière d’enseignant à Chicago tout en continuant de diriger, d’interpréter, de composer. Sa musique attira l’attention du directeur musical du Chicago Symphony Orchestra, Frederick Stock, qui dirigea plusieurs des œuvres orchestrales de Collins. Celles-ci incluent une symphonie, trois concertos pour piano, trois suites et deux ouvertures. Collins a aussi composé des douzaines de mélodies, des pièces pour piano seul, et d’autres œuvres de musique de chambre.
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