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Diapason de juillet 2017 Critique de Jean-Claude Hulot Page n° 91
Format : 1 CD Durée totale : 01:02:48
Enregistrement : 18-20/04/2016 Lieu : Londres Pays : Royaume-Uni Prise de son : Eglise / Stereo
Label : Hyperion Référence : CDA68168 EAN : 0034571281681 Code Prix : DM022A
Année d'édition : 2017 Date de sortie : 29/03/2017
Genre : Classique
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Max Bruch (1838-1920) Quintette à cordes en mi bémol majeur, op. posth. Quintette à cordes en la mineur, op. posth. Octuor à cordes en si bémol majeur, op. posth.
The Nash Ensemble
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 Le catalogue de Max Bruch, si divers, disparait toujours derrières deux opus concertant, la Fantaisie Ecossaise et le Premier Concerto pour violon. Pourtant son métier, son art s’exaltent plus encore dans ses magnifiques partitions pour la chambre. Bonheur, les Nash regroupent trois œuvres de la maturité : les deux Quintettes datent de 1918, l’impressionnant Octuor de l’année même de la mort du compositeur, la profondeur des mélodies – déchirantes parfois comme celle qui ouvre l’ Octuor – l’intensité du travail polyphonique, la tension du discours, et partout cette science d’une harmonie profuse mais claire, font irrésistiblement penser à Brahms : même degré d’art, même sens de la forme. Mais là où Brahms entrevoit la musique du futur, Bruch réaffirme avec hauteur l’essence même de l’art germanique dans un romantisme intangible. Les Nash l’assument dans leurs interprétations fiévreuses, magnifiant ce triptyque saisissant qui est le testament spirituel d’un musicien de première grandeur, dont il faut enfin prendre la mesure. Prise de son magnifique, qui vous place au centre de ce jeu si dense, si étreignant (Discophilia - Artalinna.com). (Jean-Charles Hoffelé)  Music which belies the date and circumstances of its composition. All three works were written in the immediate aftermath of World War I, yet inhabit a sound world of Brahmsian richness and warmth—very much the product of the composer of the famous Violin Concerto. The Nash Ensemble are ideal interpreters.
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