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Diapason de mars 2000 Critique de Antoine Béal Page n° 87
Format : 1 CD Durée totale : 00:43:20 Prise de son : Stereo
Label : Carus Référence : CAR83106 EAN : 4009350831063 Code Prix : DM021B
Année d'édition : 1987 Date de sortie : 24/11/2006
Genre : Classique
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Antonín Dvorák (1841-1904) Messe en ré, op. 86
Helga Hein-Guardian, soprano Verena Keller, alto Arthur Janzen, ténor Hartmut Hein, basse Jörg Zettler, orgue Motettenchor Stuttgart Günter Graulich, direction
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Dvorak est après Liszt l’un des grands chantres de la musique sacrée au XIXème siècle. Ample, imposante et dramatique malgré des effectifs plutôt restreints, sa Messe en Ré majeur op. 86 est vraiment à découvrir pour sa ferveur et son recueillement. Direction amoureuse et humble de Günter Graulich.  Dvorak est après Liszt l’un des grands chantres de la musique sacrée au XIXème siècle. Ample, imposante et dramatique malgré des effectifs plutôt restreints, sa Messe en Ré majeur op. 86 est vraiment à découvrir pour sa ferveur et son recueillement. Direction amoureuse et humble de Günter Graulich. Le chef de chœur Günter Graulich s’est surtout fait une spécialité, avec son ensemble Mottetenchor Stuttgart qu’il a fondé en 1950, du répertoire allemand du XVIIème siècle. Carus avait eu la bonne idée de lui proposer d’enregistrer certains pans de son répertoire dans les années 1970 et 1980, que nous vous proposons à nouveau aujourd’hui : les Musikalische Exequien et l’Histoire de la Nativité de Schütz évidemment (CAR 83131), quatre cantates de Buxtehude (CAR 83134) et aussi deux disques contenant trois cantates de Telemann (CAR 83133) et la Messe en Ré majeur op. 86 de Dvorak (CAR 83106). Vous pourrez à l’écoute de chacun de ces disques admirer la direction toujours humble, rigoureuse et recueillie de ce chef de chœur, Günter Graulich. (Pierre-Yves Lascar)  La musique sacrée de Dvorak est l’une des parties de l’œuvre du compositeur tchèque les moins connues du grand public en France qui connaît surtout le Concerto pour violoncelle, la Nouveau Monde et le Quatuor Américain. Mais Dvorak a écrit de très belles œuvres sacrées, amples, dramatiques, aux effectifs plus ou moins imposants comme le Requiem, le Stabat Mater, le Te Deum op. 103 ou cette Messe en Ré Majeur op. 86 portée et soutenue avec amour par Günter Graulich.
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