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Diapason from May 2017 Review de Michel Stockhem Page No. 99
Format : 1 CD Total Time : 01:04:29
Recording : 05-07/10/2015 Location : Loughton Country : Royaume-Uni Sound : Eglise / Stereo
Label : Hyperion Catalog No. : CDA68155 EAN : 0034571281551 Price Code : DM022A
Publishing Year : 2017 Release Date : 01/02/2017
Genre : Classical
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Ernest Bloch (1880-1959) Suite n° 1 pour violoncelle seul Suite n° 2 pour violoncelle seul Suite n° 3 pour violoncelle seulLuigi Dallapiccola (1904-1975) Ciaccona, Intermezzo e AdagioGyörgy Ligeti (1923-2006) Sonate pour violoncelle seul
Natalie Clein, violoncelle
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 Nombreux sont les compositeurs du 20ème siècle - pour ne pas parler des contemporains - que l’aventure du violoncelle seul a tenté, avec une réussite souvent remarquable, même si l’ascétisme inhérent à la démarche n’a pas toujours conquis les foules. D’où un nombre restreint d’enregistrements, ce qui conduit à saluer chaque nouvelle parution lorsqu’elle est de qualité, comme c’est le cas avec le dernier opus de Natalie Clein. La violoncelliste britannique a choisi de faire chanter son Guadagnini de 1777 – le "Simpson" - au son de suites ou sonates composées entre 1945 et 1957. Il est étonnant qu’Ernest Bloch, le compositeur de "Schelomo", ne se soit tourné vers un traitement soliste du violoncelle qu’à la toute fin de sa vie, accouchant en un temps record de trois Suites d’une grande intensité, qui doivent beaucoup à l’impulsion de Zara Nelsova. Les deux autres œuvres du programme, bien qu’antérieures chronologiquement, sonnent beaucoup plus "contemporaines", ce qui n’étonnera personne, s’agissant de Luigi Dallapiccola et de György Ligeti. Au final, un CD à marquer d’une pierre blanche, que tout amateur de beau violoncelle se devrait de posséder. (Yves Kerbiriou)  Natalie Clein, whose previous recording of the music of Ernest Bloch was described as ‘inspired’ by The Sunday Times, turns to his three suites for solo cello as part of a recital of works written in the aftermath of the Second World War. The sombre voice of the cello seems especially apposite in music of such deep seriousness, Ligeti’s short sonata providing an energetic and life-affirming finale.
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