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Format : 1 CD Durée totale : 01:07:14
Enregistrement : 09-20/04/2015 Lieu : Prague Pays : République Tchèque Prise de son : Eglise / Stereo
Label : Supraphon Référence : SU4188 EAN : 0099925418823 Code Prix : DM020A
Année d'édition : 2015 Date de sortie : 30/09/2015
Genre : Classique
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Antonio Vivaldi (1678-1741) Concerto en fa majeur pour hautbois, cordes et basse continue, RV 455 Concerto en do majeur pour hautbois, cordes et basse continue, RV 450 Concerto en ré mineur pour 2 hautbois, cordes et basse continue, RV 535Georg Philipp Telemann (1681-1767) concerto en ré mineur pour hautbois, cordes et basse continue, TWV 51:d1Johann Sebastian Bach (1685-1750) Concerto en ré mineur pour hautbois, cordes et basse continue, BWV 1059 Concerto en fa majeur pour hautbois, cordes et basse continue, BWV 49/169
Vilém Veverka, hautbois Dominik Wollenweber, hautbois Ensemble 18+
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 Jason Statham en couverture, pour un film "de castagne" à l'américaine ? Que nenni : Vilém Veverka, hautboïste tchèque. On est donc prévenu que son hautbois sera masculin et performatif, voire percutant. Promesse tenue : technique ébouriffante (passage par l'orchestre des jeunes Gustav Mahler et le Philharmonique de Berlin, entre autres, oblige), sonorité confortable d'un instrument moderne très bien capté... les mouvements vifs filent à cent à l'heure et l'ivresse de la danse (acrobatique, pas de salon) n'est jamais loin. Les mouvements lents laissent plus partagé. Ceux de Telemann, riches de contenu et de trouvailles, convainquent aisément. Ceux de Vivaldi et Bach paraissent en revanche bien dénués de poésie et comme amidonnés. Cela incombe-t-il à un accompagnement un peu trivial (l'orchestre, sans chef, paraît hésiter un peu dès que les tempi se relâchent et s'arc-bouter sur les barres de mesure) ou à des procédés un peu trop audibles du hautbois (comme les envahissants soufflets sur les notes longues) pour "habiter" ces passages ? Au total un disque certes pas révolutionnaire mais brillant et enivrant, même si parfois un rien mécanique. (Olivier Eterradossi)  If you asks oboists about the golden age of their instrument, they will in all likelihood refer to the first half of the 18th century. It was the time when a plethora of music for the oboe was written - solo and trios sonatas, concertos, cantatas… No court orchestra could make do without the instrument. Many of these pieces created by the three most feted late-Baroque composers : Antonio Vivaldi (he conceived about two dozens concertos for solo oboe!), J. S. Bach, and his friend G. P. Telemann, who is deemed one of the most prolific composer of all time. Althought dating from the same period, the works by the three creators represent three very different worlds. Yet that wich they have in commons is their virtuosity and the associated high technical demands placed upon the soloist. Besides ensemble 18+ and his musical soul-mate, the harpsichordist Barbara Maria Willien, Vilém Veverka invited along as a gust to participate in this dream project his teacher and colleague Dominik Wollenweber, oboist of the Berliner Philharmoniker. With this new album, Veverka has confirmed his firm position among the most acclaimed oboists on the international scale.

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