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Verdi : Rigoletto.Cappuccilli, Aragalli, Bonifacio, Vinco, Lopez-Cobos.
Format : 2 CD Digipack
Durée totale : 01:57:44

Enregistrement : 18/02/1972
Lieu : Venise
Pays : Italie
Prise de son : Live / Stereo

Label : La Fenice
Référence : MMB2929818
EAN : 4260193298189
Code Prix : DM021A

Année d'édition : 2025
Date de sortie : 01/10/2025

Genre : Classique
Giuseppe Verdi (1813-1901)
Rigoletto, opéra en 3 actes et 4 tableaux

Piero Cappuccilli, baryton (Rigoletto)
Giacomo Aragall, ténor (Le Duc de Mantoue)
Maddalena Bonifacio, mezzo-soprano (Gilda)
Ivo Vinco, basse (Sparafucile)
Silvana Mazzieri, mezzo-soprano (Maddalena)
Annalia Bazzani, soprano (Giovanna)
Giovanni Antonini, basse (Monterone)
Bruno Tessari, baryton (Marullo)
Guido Fabbris, baryton (Borsa)
Uberto Scaglione, ténor (Comte de Ceprano)
Marisa Salimbeni, soprano (La Comtesse)
Elisabetta Cherri, soprano (Le page)
Orchestra e Coro del Teatro La Fenice
Jesus Lopez-Cobos, direction

Nouveau rhabillage d’un live pirate célèbre – La Fenice n’a visiblement pas la chance ou les moyens de confier ses fabuleuses archives à un éditeur patrimonial comme les Festivals de Salzburg et de Bayreuth ou encore l’Opéra de Munich le font avec Orfeo. Prise de son très moyenne, effectuée apparemment depuis les coulisses. Les voix sont bien présentes, mais on a moins la possibilité d’apprécier l’art de Lopez Cobos, ce fabuleux chef dont les témoignages à l’Opéra sont hélas trop rares. On perçoit cependant une manière très naturelle de respirer avec les chanteurs, des détails d’orchestration (les vents) rarement entendus et cette façon d’empoigner le drame sans en minorer la violence, jusqu’à la catastrophe finale. Dans un des rôles de sa vie, Capuccillli, qui établira 8 ans plus tard une référence sous la direction de Giulini, se montre comme toujours meilleur à la scène comme au studio, avec un Corteggiani dévastateur et une scène finale qui vous prend aux tripes. Les années 1970 furent la meilleure décennie pour Aragall : séduction du timbre, insolence de l’aigu, tout lui réussit même s’il manque à "Per mi veder le lagrime" le ton élégiaque qu’y mettait un Bergonzi. Un Duc tutta forza, ce qui est bien dans le caractère du personnage. Coincée entre deux bêtes de scène, Bonifacio se tire sans la moindre difficulté technique de son rôle un peu ingrat. Public en délire, on aurait bien aimé en être ce soir-là. Un Rigoletto à thésauriser. (Olivier Gutierrez)

Aux amateurs de bel canto, La Fenice propose l’écho de quatre spectacles captés sur le vif entre 1966 et 1973 : si l’orchestre (et le chef permanent Ettore Gracis pour deux d’entre eux) n’y brillent guère, on y repère quelques étoiles. Norma vaut pour l’Adalgisa intensément charnelle de Cossotto, supérieure ici à ce qu’elle sera en studio. Le Rigoletto chauffé à blanc par Lopez-Cobos est dominé par un Cappuccilli déchaîné, doté d’un legato infini : le bouffon tragique, a toujours été, avec Macbeth, son meilleur rôle verdien. L’édition de Lucia di Lamermoor retient l’attention par son intégrité (on y trouve l’air de Raimondo – excellent Paolo Washington – comme le duo de la Roche au Loup), la direction théâtrale de Gavazzeni et l’incarnation d’une Scotto juvénile, aux teintes lunaires, ovationnée après l’étincelante cadence conçue pour Nellie Melba. Mais c’est la distribution du Barbier de Séville qui s’avère la plus équilibrée : trois ans avant leur célèbre intégrale sous la baguette d’Abbado, Berganza (Rosina racée, virtuosissime) et Montarsolo (Basilio d’anthologie) y côtoient un Figaro incisif (Trimarchi) et un Bartolo imposant (Mariotti), qui n’hésite pas à jouer du falsetto. De fort émouvants témoignages ! (Olivier Rouvière)

Giuseppe Verdi’s Rigoletto is a gripping tale of power, vengeance, and lost innocence, presented here in a carefully curated 2-CD edition. At the center of the drama is the court jester Rigoletto, whose love for his daughter Gilda collides with a world of corruption and cruelty. This recording captures the opera’s most unforgettable highlights, including the haunting “La donna è mobile,” the tender “Caro nome,” and the devastating final scene. A classic collector’s item and a perfect introduction to Verdi’s dramatic genius, this edition delivers emotional intensity with refined presentation.

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