Après le succès de son enregistrement dédié aux mélodies de Grieg, fortement salué par la presse française et internationale (5 de Diapason, 5/5 BBC Music Magazine…), la soprano norvégienne Solveig Kringelborn s’attaque au cycle de mélodies Japanischer Frühling de son compatriote Ludvig Irgens-Jensen.  Solveig Kringelborn est l’une des sopranos les plus appréciées que nous ait récemment donné la Scandinavie. Ses apparitions à l’opéra et au concert en ont fait une artiste très recherchée. Cette notoriété est due, dans une large mesure, à la combinaison d’une voix au timbre argenté et d’une présence scénique charmeuse. Sur scène, elle est particulièrement renommée pour son interprétation de la musique scandinave, alors que sur les plateaux d’opéra, elle se distingue autant par le chant que par ses réels talents d’interprète. Elle travaille régulièrement avec des chefs comme Mariss Jansons, Zubin Mehta, Simon Rattle, Herbert Blomstedt, Neeme Järvi, Esa-Pekka Salonen, Claudio Abbado, Neville Marriner et Colin Davis. Elle s’est produite à l’Opéra de San Francisco, au Théâtre de la Monnaie de Bruxelles, au Liceu de Barcelone, à Covent Garden, au Metropolitan Opera, sur les scènes des festivals de Salzbourg, Aix-en-Provence et Glyndebourne, et avec l’Orchestre Symphonique de Sydney, le Gewandhaus de Leipzig et le Philharmonique d’Israël. Elle a gravé de nombreux enregistrements, et son interprétation des œuvres norvégiennes et finnoises est particulièrement appréciée. Ses futurs engagements l’emmèneront à l’opéra de Zurich avec Lady Macbeth de Mzensk, à l’Opéra National de Paris (Capriccio), au Festival de Glyndebourne (La Fiancée vendue), puis de nouveau à l’Opéra National de Paris où elle tiendra le rôle de Refka dans le nouvel opéra de Kaija Saariaho, Adriana Mater. / Texte © Radio France (Les biographies de France Musiques)

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