|
Format : 1 CD Durée totale : 01:10:59
Enregistrement : 2006-2012 Lieu : Manchester Pays : Royaume-Uni Prise de son : Stereo
Label : Hallé Référence : HLL7516 EAN : 5065001341168
Année d'édition : 2013 Date de sortie : 06/09/2013
Genre : Classique
|
|
 |
Jean Sibelius (1865-1957) Pohjola's Daughter, op. 49 The Oceanides, op. 73 Symphonie n° 2 en ré, op. 43
Hallé Orchestra Sir Mark Elder, direction
|
 
 La deuxième symphonie de Sibelius connut un succès immédiat et demeure depuis sa création en 1902 la plus populaire de ses sept symphonies. Cette partition est si riche qu’une lecture plus « objective » que ce à quoi nous ont habitués de grands chefs charismatiques du passé peut tout autant l’honorer et emporter l’adhésion de l’auditeur. La direction de Sir Mark Elder ne cherche pas à transcender un texte qui offre déjà beaucoup. Les effets dramatiques de ses paroxysmes sont moins appuyés mais son intériorité n’est pas moins puissamment suggestive et lyrique que celle de ses aînés. Comme chez Bruckner que Sibelius admirait, le silence est un élément-clé du langage symphonique. Sa valeur spirituelle est ici pleinement ressentie. Cinq ans après cette symphonie, l’orchestration de « La Fille de Pohjola » accueille la harpe qui joue un rôle significatif dans l’émanation de la féerie. La progression de l'œuvre est entièrement fondée sur son argument littéraire. A mi-chemin entre cette musique « à programme » et la « musique pure » de la symphonie, « Les Océanides » est une pièce tout aussi onirique mais plus novatrice et plus libre de forme. Nous n’y faisons pas que contempler les éléments, nous nous immergeons en eux. (Pascal Edeline)  Following their recording of Symphonies No 1 and 3, this release marks the second disc of Sibelius works from the award-winning Hallé under Sir Mark Elder. The disc includes the long awaited recording of Elder’s interpretation of the ever-popular Symphony No. 2, a work closely associated with the Hallé who gave the British premiere in 1905. It is coupled with the dramatic Pohjola’s Daughter, an orchestral show-piece with the Hallé here at the height of its powers, and the less well known and deeply evocative musical portrait of the sea, The Oceanides. Together, the performances of these works perfectly illustrate the renaissance that has been achieved at the Hallé under Sir Mark Elder.
|
. |
 |
|
|