 Une œuvre dédiée pour partie au piano-pédalier plutôt qu’à l’orgue, et qu’y pourtant fait appel à bien des ressources de l’instrument à tuyaux. Quel orgue choisir pour enregistrer une telle intégrale ? André Thiébault (des disques Triton) suggéra de faire appel à l’immense palette sonore de l’orgue Cavaillé-Coll de Saint-Sulpice à Paris. L’exceptionnelle intensité et la forte personnalité de cet instrument nous transportent. L’orgue-orchestre, idéal tant convoité par Aristide Cavaillé-Coll est bel et bien là ! "Bruno Morin —[dont on connaît] la polyvalence -cf. les autres CD édités ici même : Boyvin-Lully et Brahms-Reubke— offre là un Schumann digne d'un classique de demain" "...atmosphère de sereine plénitude, de décence et de puissance vigoureusement projetée avec sobriété mais virtuosité"... MichelRoubinet / Diapason Les œuvres pour piano-pédalier de R. Schumann sont désormais plus souvent jouées à l’orgue, mais il faut ” chercher les registrations et un toucher capables de ne pas trahir les intentions pianistiques de l’auteur, ce qui n’est pas sans difficulté ” confie François Sabatier, auteur du texte accompagnant cet enregistrement. Bruno Morin, on l’a vu dans ces deux précédents disques, très doué pour traduire toutes les subtilités d’auteurs aussi différents que Brahms ou Reubke, et Boyvin, réalise une fois encore un très beau 3ème disque. Rappelons que pour chacun de ses disques l’artiste choisit toujours de superbes instruments, relativement peu enregistrés : Winterthur (Walker), la Cathédrale de Poitiers (F.H. Clicquot).  Les Œuvres pour piano-pédalier de R. Schumann sont désormais plus souvent jouées à l’orgue, mais il faut “chercher les registrations et un toucher capables de ne pas trahir les intentions pianistiques de l’auteur, ce qui n’est pas sans difficulté” confie François Sabatier, auteur du texte accompagnant cet enregistrement. - Bruno Morin, très doué, on l’a vu dans deux précédents disques, pour traduire toutes les subtilités d’auteurs aussi différents que Brahms ou Reubke, et Boyvin, réalise une fois encore un très beau disque. - Rappelons que pour chacun de ces trois disques, l’artiste a choisi trois superbes instruments, peu enregistrés et que la prise de son est, elle aussi, à chaque fois, remarquable. - DDD 64:49/Livret Français-Anglais
|