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Format : 1 CD Durée totale : 01:07:18 Prise de son : Stereo
Label : AVIE Records Référence : AVIE2400 EAN : 0822252240023 Code Prix : DM019A
Année d'édition : 2020 Date de sortie : 01/04/2020
Genre : Classique
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Franz Schubert (1797-1828) Lied eines Schiffers an die Dioskuren, D 360 Die Sterne, D 939 Die Sternennächte, D 670 An die Laute, D 905 Alinde, D 904 Abends unter der Linde, D 235 An den Mond, D 193 Die Forelle, D 550 Des Fischers Liebesglück, D 933 Am Meer, D 957/12 Abendbilder, D 650 Nacht und Träume, D 827 Der Vater mit dem Kind, D 906 Erlkönig, D 328 Der Winterabend, D 938 An den Mond, D 259 Nachtgesang, D 119 Das Rosenband, D 280
Karim Sulayman, ténor Yi-Heng Yang, piano
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 Etrange disque. Les duretés d’un piano forte capté trop en avant et avec une réverbération excessive, la voix fluette du ténor, son manque de couleurs et l’absence de réelle mezza-voce déroutent… à la première écoute. Il en faudra une seconde, puis une troisième pour que se dégagent enfin les qualités de cet album : le travail en clair-obscur, qui permet aux deux artistes d’atteindre à une expressivité dont les limites de leurs instruments respectifs auraient pu les priver. La cohérence ensuite, qui est d’abord celle d’un programme pensé comme un cycle qui alterne tubes et Lieder moins connus (l’onirique "Abends unter der Linde", la berceuse "Der Vater mit dem Kind") autour des thèmes très schubertiens de la solitude et de la nuit. Le soliste s’en explique d’ailleurs dans d’intelligentes notes de programme. L’entente avec son accompagnatrice est idéale. Seul bémol : on se demande bien ce que le Roi des Aulnes vient faire là, privé qui plus est de sa dimension opératique. Un disque à réserver aux amateurs de Lied chevronnés. (Olivier Gutierrez)  In life and music, Grammy Award-winning tenor Karim Sulayman is a master storyteller. Where Only Stars Can Hear Us is a journey through the songs of Franz Schubert, a composer who was able to capture joy and sorrow in a single moment like no other. Karim’s voyage traverses themes of darkness and yearning, guided throughout by moonbeams and shining stars. His partner is historical keyboardist Yi-heng Yang who plays on a fortepiano built by Joseph Simon in Vienna in 1830, adding an air of authenticity from Schubert’s time.
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