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Format : 1 CD Durée totale : 00:55:15
Enregistrement : 1999-2015 Pays : Italie Prise de son : Stereo
Label : Stradivarius Référence : STR37141 EAN : 8011570371416 Code Prix : DM021A
Année d'édition : 2019 Date de sortie : 02/10/2019
Genre : Classique
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Manuel M. Ponce (1882-1948) Prélude Prélude pour guitare et clavecin Sonate pour guitare et clavecinMario Castelnuovo-Tedesco (1895-1968) Tonadilla, op. 170 n° 5 (on the name of Andrés Segovia) Fantaisie pour guitare et piano, op. 145Hans Haug (1900-1967) Alba Fantaisie pour guitare et pianoSir Edward Elgar (1857-1934) Salut d'amour, op. 12
Stefano Grondona, guitare Aldo Ciccolini, piano, clavecin
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 Ce disque est le fruit d’une longue et intense collaboration entre deux musiciens : le pianiste Aldo Ciccolini et le guitariste Stefano Grondona. Rencontre teintée d’admiration mutuelle (Ciccolini compare le jeu rond, sensuel et racé de Grondona à celui de Michelangeli) autour du fameux air d’Elgar et de deux compositeurs familiers du duo : Manuel Ponce et Mario Castelnuovo-Tedesco. Pour interpréter les deux rares pièces Prélude et Sonate écrites par Ponce vers 1930 (L’instrument renaissait alors sous les doigts de Wanda Landowska et la plume de Manuel de Falla) le maestro Ciccolini qui fut l’élève de Ruggero Gerlin a dû se remettre au clavecin. Le résultat est une plaisante pochade aux accents baroques. Si la Fantasia du suisse Hans Haug (1900-1967) adopte un style néo-classique assez peu personnel, la mélancolique Alba du même auteur rappelle sans façon William Byrd et les virginalistes anglais. Les deux pièces de Castelnuovo-Tedesco (Tonadilla et Fantasia), d’inspiration folklorique, sont exemplaires du style cultivé de l’italien. Grondona joue enfin avec une émotion contenue la transcription pour guitare du « Salut d’amour » en hommage au Maestro qui venait alors de disparaître. Un disque attachant. (Jérôme Angouillant)  In those years at the turn of the new millennium, neither Aldo Ciccolini nor I would ever have imagined that the recordings we were making would have to wait so long before they were made available to the public. They ended, in fact, by becoming my posthumous tribute to the great pianist, as well as to the friend that Aldo was for me. ‘You deal with it’, Aldo used to say when wespoke about the destiny of these pioneering performances, a courageous challenge to draw together our respective individual musical worlds, both of us prompted simply by a common understanding and the knowledge of a mutual trust in each other’s artistic sensitivity. A challenge that Aldo wished to bravely take up, to approach myguitar with the curious flexibility that marked hisway of making music and especially of tackling the most extreme repertoires.
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