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Informations
Riverberi, XXe siècle et au-delà. Tagliaferri, Pellini.
Format : 1 CD
Durée totale : 01:12:10
Lieu : Volpiano
Pays : Italie
Prise de son : Eglise / Stereo

Label : Elegia
Référence : ELEORG008
EAN : 8051770160083
Code Prix : DM017A

Année d'édition : 2010
Date de sortie : 01/01/2010

Genre : Classique
Flor Peeters (1903-1986)
Pièce pour trompette en ré majeur, op. 11- n° 6

Licinio Refice (1883-1954)
Berceuse

Marco Enrico Bossi (1861-1925)
Gigue op. 73 n° 2
Piccola Fanfara

Marcel Dupré (1886-1971)
Extraits de "Seventy-Nine Chorales" pour orgue
n° 7. In my beloved God
n° 29. Help me glorify the Grace of God
n° 40. In Thee is joy
n° 47. Come, Holy Ghost, Lord God
n° 49. From heaven above came Angels

Federico Mompou (1893-1987)
Pastoral (Canço i dansa n° 15)

Ottorino Respighi (1879-1936)
Prélude en la mineur sur un Choral de Bach, "Ich hab mein Sach Gott heimgestellt", BWV 351

Pietro Tagliaferri (1964-)
"Kyrie XI Orbis factor", pour saxophone soprano

Jehan Alain (1911-1940)
Litanies

Maurice Duruflé (1902-1986)
Hommage à Jean Gallon (chant donné)

Bjarne Slogedal (1937-)
Variations sur un air populaire norvégien

Massimo Berzolla (1963-)
Ritratto

Guido Donati (1949-)
Andante arioso e Pas de dix

Pietro Tagliaferri (1964-)/Massimo Berzolla (1963-)
Lilien, composition dédiée au projet "Riverberi"

Pietro Tagliferri, saxophone soprano
Stefano Pellini, orgue (Orgue Giuseppe Bernasconi de l'église paroissiale Saint Pierre-Saint Paul de Volpiano)

Le projet “Riverberi” a été fondée en 2003 par la collaboration entre Pietro Tagliaferri et Margherita Sciddurlo et une idée du compositeur Massimo Berzolla: accoster le saxophone soprano à l’orgue avec un projet musical conscient, en créant un répertoire unique et fascinant. L‘activité du duo, qui a été développé dans près que 70 concerts en Europe et en Amérique et en trois réalisations discographiques, il a été renouvelé en 2009 avec l’organiste Stefano Pellini et avec l’aide de son expérience et sa culture. En 2010, le nouveau CD est sorti pour ma marque “Elegia”. De tous les instruments de musique, l’orgue est peut-être la machine sonore qui a subi plus de changements, des pensées, des innovations techniques: les constructeurs de chaque époque et chaque région ont essayé d’ajouter de nouveaux sons et périphériques qui pourraient donner au son de l’orgue une plus grande expressivité qui l’approche d’une partie à la voix humaine, dans l’autre au son des autres instruments, sans perdre sa gravitas qui a toujours été propre du «roi des instruments». Même chose en ce sens la choix de associer le son de l’orgue à un autre instrument, le saxophone soprano: il n’est pas consideré comme il arrive traditionnellement dans les combinaisons en duo, comme un instrument soliste, mais comme une projection de son de l’orgue vers l’extérieur, une sorte d’extension “projection” de l’instrument même, un peu “comme il arrive pour les anches (placées horizontalement en façade), si chères aux traditions ibérique et français (mais pas inconnus à celle italienne). Le saxophone donc comme un instrument dans l’instrument, dans une dialogue à l’intérieur, dans un cum certare où il n’y a pas ni vainqueurs ni vaincus, ni instrument soliste ni instrument d’accompagnement. Tout ceci explique la choix - une sorte de manifeste du projet depuis sa création, Projet Riverberi, comme les trois enregistrements précédents témoignent- ne pas manipuler les répertoires existants, comme cela arrive souvent, mais de jeter sic et simpliciter un nouvel éclairage sur le répertoire d’orgue, le résultat permet d’entrer dans les plis de la musique et de souligner les détails que un seul un artiste, aussi avec des claviers différents et des sons différents, ne peut expliquer. C’est comme si l’organiste ait à disposition une troisième main “capable d’une sonorità intense pour souligner toutes les voix, et les mettre en dialogue avec les différents registres «intérieur» de l’instrument, de manière à créer un son mélange nouveau, mais pas irrespectueux envers les intentions du compositeur. Mais il y a de plus: la combinaison du saxophone et orgue devient stimulant pour composer de la musique, où les deux instruments ont le maximum de liberté d’interaction et de synergie. Ce document rend compte de ce que nous avons juste illustré: d’une partie nous avons des compositions originales pour orgue (à l’exception de Giga Marco Enrico Bossi, transcrite pour orgue par son fils Renzo et entrée dans le répertoire pour orgue) de l’autre il y a des compositions écrites spécialement pour le duo Riverberi. Le programme est organisé selon un ordre “de concert”, l’auditeur est mis en place par la sonnerie de Trumpet Tune de Floor Peeters, accompagnée par les harmonies somptueuses de l’orgue, dans un parcours à travers le XXe siècle sans ordre chronologique, mais selon un processus précis qui conduit à l’écoute maintenant plus rationnelle, maintenant à une détente émotionnelle dans une juxtaposition constante des couleurs et des images sonores. Merci à la présence du saxophone soprano, la Berceuse de Licinio Refice présente une particulière grâce d’expression, surtout quand l’instrument quitte la ligne du soprano pour se glisser dans la voix intérieure de son, les deux agréables et lumineuses pages de Marco Enrico Bossi - vrai initiateur du XXe siècle orgue italien - ne diffèrent pas, sauf pour la taille et la différence de sa densité, semblent une petite fanfare, les Chorales, op. 79 de Marcel Dupré sont un travail de valeur d’enseignement, comme l’Orgelbüchlein Bach, la référence est évidente, touts les morceaux sont caractérisés par une courte durée et l’intensité de l’écriture destinée à guider l’étudiant à surmonter certaines difficultés techniques. Les cinq miniature pour réaliser cette gravure rendent compte de la diversité qui caractérise la collection: des sons différents, différents procédés de composition, mais aussi différents temps liturgiques. L’auditeur est un peu “navigué” dans le répertoire de l’orgue sans doute s’attendre que à l’hanche de sax soit confié le thème de la chorale, souvent cette choix, qui semble évidente, est en réalité ignorée et contredite. La pastorale de Mompou oppose une introduction délicate qui a dans son intérieur un point central de majeur tension harmonique, un deuxiem mouvement de danse, où les sons de la hanche de l’orgue et de sax se poursuivit dans une poursuite sans relache pour puis éteignez dans le mous appel du mouvement initial. Dans le morceau de Respighi, cependant, le thème de Bach Choir («J’ai mis la confiance en Dieu»), attribué à la main gauche de l’organiste, va à la voix intense du sax, en créant dans la troisième et dernière section, trois différents niveaux sonores en lieu des deux mains que l’organiste pouvait tisser. L’intime poésie de la musique de Duruflé vie intacte dans la miniature de «Hommage à Jean Gallon, qui n’est rien de plus qu’un exercice théorique: les meilleurs étudiants Gallon, professeur d’Harmonie au Conservatoire de Paris de 1919 à 1949, sont invités à composer une courte œuvre, en hommage à l’enseignant, l’étudiant Duruflé prépare une pièce de vingt-deux temps, où il donne une preuve suffisante de cette harmonique langage raffinée qui apparaisse dans les travaux de maturité. Célèbre page du XXe siècle du répertoire français, les Litanies de Jehan Alain Voir voit le sax aller à trouver le thème (la litanie), soit qu’il est dans la région aiguë, moyenne ou grave de la page, pour comprendre l’esprit des litanies, nous ne pouvons pas ignorer ce que le compositeur lui-même fait précéder au travail même: «Quand l’âme chrétienne ne trouve plus de mots nouveaux dans la détresse pour implorer la miséricorde de Dieu, elle répète sans cesse la même invocation avec une foi véhémente. La raison atteint sa limite, seule la foi poursuit son ascension». Il s’agit de la musique d’un jeune homme, toute faite de rythme et d’énergie, comme sa sœur Marie Claire écrit: “Pour jouer fidèlement Jehan Alain on doit avant tout être naturel. Rappelons-nous que cette musique a été écrite par un jeune homme entre 18 et 28 ans. La musique naturelle est rythme, chant et danse. Elle accélère dans l’émotion et ralentit dans la méditation, elle respire au rythme des battements du cœur qui on doit se rappeler, ne sont jamais régulières coome eux du métronome. Dans le morceau de Sløgedal l’orgue et le saxophone se partagent la déclaration des versets du choral (“Combien grande est la gloire du Fils de Dieu”) et alors le contraste des sons différents dans les variations suivantes: Song voit l’alternance de sax et Cornetto, voix distinctive de l’orgue, Fløyteljod (flûte) soulignant le flûte traversiere du clavier premier et le flût harmonique du deuxiem, dans Langeleik (instrument à cordes de musique du folklore norvégien) le sax compose à l’aiguë le thème que l’anche de l’hautbois annonce au bas, la puissance de l’instrument aux tuyaux émerge dans Frydge song (chant de joie). Spécialement écrites pour le duo Riverberi les compositions de Berzolla Massimo, Guido Donati, Pietro Tagliaferri: dans le morceau soliste “A propos de Kyrie XI” (c’est le Kyrie Orbis Factor de la messe), le thème grégorien se déroule dans une série de changements caractérisés par l’extrême variété rythmique et dynamique, dans Ritratto une introduction expressive de l’orgue, plus tard, atteint par le sax, cède la place à une section central toute jouée sur la fluidité rythmique, la troisième section, en trio, est ancrée dans des tons doux et lyrique. Dans l’Andante Arioso et Pas de dix Donati oppose un intense premier mouvement à la vitesse typique de 10 / 8 du deuxième: d’où le flux incessant de c

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