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“Tisser une corde de sable, monnayer le vent sans face” ... tel est le titre (inspiré d’une nouvelle de Borgès) du très beau texte, plein de poésie, que Dominique Druhen a écrit pour accompagner la musique de Ricardo Nillni dans laquelle “on y entend un champ harmonique déterminé, et global, qui évolue lentement, et insensiblement ; cette presque immobilité est toujours agitée de multiples frémissements, plus ou moins perceptibles, qui ne se contentent pas de colorer la matière sonore mais qui l’animent, lui donnent son mouvement, provoquent les conditions de changement du champ harmonique tout au long des œuvres.”  “Tisser une corde de sable, monnayer le vent sans face"… - tel est le titre (inspiré d’une nouvelle de Borgès) du très beau texte, plein de poésie, que Dominique Druhen a écrit pour accompagner la musique de Ricardo Nillni dans laquelle “on y entend un champ harmonique déterminé, et global, qui évolue lentement, et insensiblement , cette presque immobilité est toujours agitée de multiples frémissements, plus ou moins perceptibles, qui ne se contentent pas de colorer la matière sonore mais qui l’animent, lui donnent son mouvement, provoquent les conditions de changement du champ harmonique tout au long des œuvres". - DDD 53:40/Livret Français-Anglais
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