Bedrich Smetana (1824-1884)
Extrait de "Má Vlast"

Christoph Willibald Gluck (1714-1787)
Danse des esprits bienheureux (arr. pour violon et piano de F. Kreisler), extrait de "Orfeo ed Euridice"

Henryk Wieniawski (1835-1880)
Mazurka, op. 19 n° 2
Polonaise brillante n° 1 en ré majeur, op. 4
Scherzo-Tarantelle, op. 16

Antonio Vivaldi (1678-1741)
Sicilienne du Concerto en mi bémol "Il Retiro"

Zoltán Kodály (1882-1967)
Il pleut dans la ville (arr. N. Milstein)

Frédéric Chopin (1810-1849)
Nocturne n° 20 en do dièse mineur, op. post.

Ferdinand Ries (1784-1838)
Perpetuum mobile

Pietro Nardini (1722-1793)
Larghetto de la Sonae en si bémol majeur

Johannes Brahms (1833-1897)
Danse hongroise n° 2 en ré mineur (arr. J. Joachim)
Valse, op. 39 n° 15 (/ Jules Massenet (1842-1912)
Méditation de Thaïs (arr. M. Marsick)

Igor Stravinski (1882-1971)
Chanson russe (arr. S. Dushkin)

Pietro Domenico Paradisi (1707-1791)
Sicilienne (arr. S. Dushkin)

Nikolai Rimski-Korsakov (1844-1908)
Le Vol du Bourdon (arr. A. Hartmann)

Eduard Poldini (1869-1957)
Poupée valsante (arr. F. Kreisler)

Manuel de Falla (1876-1946)
Asturiana (arr. P. Kochanski)
Jota (arr. P. Kochanski)

Maurice Ravel (1875-1937)
Berceuse sur le nom de Gabriel Fauré

Pablo de Sarasate (1844-1908)
Romanza Andaluza

Robert Schumann (1810-1856)
Traumerei (arr. F. Hullweck)

Johann Sebastian Bach (1685-1750)
Air de la Suite n° 3 (arr. A. Wilhelmj)

Ottokar Novácek (1866-1900)
Perpetuum Mobile

Piotr Ilyitch Tchaikovski (1840-1893)
Mélodie

Claude Debussy (1862-1918)
La fille aux cheveux de lin (arr. A. Hartmann)

Nathan Milstein, violon
Leon Pommers, piano

Cet album compile des pièces de genres, des arrangements, 26 "bis" en somme. Accompagné au piano par Leon Pommers, Milstein joue ces miniatures qui bénéficient pour cette réédition, d’un remastering impeccable. De Smetana à Debussy en passant par Vivaldi, Stravinsky, Brahms, Bach, Ravel, Sarasate et Schumann, Milstein se distingue par la pureté, la clarté de son jeu. Alors que tant de grands violonistes cherchaient les effets, Milstein refusait ceux-ci. D’une extrême précision dans l’intonation et la justesse, son archet préserve, quel que soit le répertoire, un sentiment de liberté, mais aussi de fraîcheur quasi juvénile. Ces petites "Delicatessen" complètent idéalement les grands ouvrages que Milstein interpréta toute sa vie : les concertos romantiques, les sonates et partitas de Bach. A savourer sans modération… (Jean Dandrésy)