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Granados : Goyescas. Dichamp.
Format : 1 CD
Durée totale : 01:14:14

Enregistrement : 26-27/02/2018
Lieu : Barcelone
Pays : Espagne
Prise de son : Studio / Stereo

Label : Brilliant Classics
Référence : BRIL96067
EAN : 5028421960678
Code Prix : DM011A

Année d'édition : 2019
Date de sortie : 27/11/2019

Genre : Classique
Enrique Granados (1867-1916)
Goyescas, Suite pour piano
Los requiebros
Coloquio en la reja
El fandango de candil
Quejas, o la maja y el ruiseñor
El Amor Y La Muerte
Epilogo, Serenata del espectro

Domenico Scarlatti (1685-1757)
Sonate en mi bémol majeur, K 193
Sonate en ré mineur, K 141
Sonate en fa dièse mineur, K 25
Sonate en sol mineur, K 8 Sonate en mi mineur, K 198

Jean-François Dichamp, piano

Après avoir enregistré deux disques remarqués consacrés à Chopin et à Liszt dans les années 1990, le pianiste Jean-François Dichamp était resté depuis éloigné des studios d'enregistrement. C'est un plaisir de le retrouver dans un disque consacré aux Goyescas. Dans le texte du livret, il écrit que cette œuvre est le premier opéra pour piano. Il est vrai qu'elle en possède la théâtralité, le lyrisme qui alterne avec des pages de récitatifs et l'organisation complexe de leitmotivs qui reviennent tout au long des 6 pièces. Tournant le dos aux couplages traditionnels, il nous propose divers intermèdes entre les scènes de Granados, grâce à des pages anciennes qui ont nourri les musiciens espagnols. On y trouve Scarlatti (qui a écrit ses Sonates pour la future Reine d'Espagne), mais également Padre Soler (dont les Sonates sont très injustement négligées). Tout au long de ce voyage théâtral, le pianiste fait preuve d'une grande élégance : il soigne la clarté du discours qui ne brouille jamais les superpositions touffues de l'écriture. Mais il ne néglige pas pour autant le drame dans la scène de la Mort, ni le mystère lunaire pour les spectres de l'épilogue. Les Sonates baroques sont choisies pour prolonger ces climats dramatiques. C'est pourquoi on n'y cherchera pas d'optique musicologique. Qu'importe si les reprises ne sont pas toutes respectées du moment que ces pages servent le propos de l'interprète qui est bien de nous emmener en voyage dans une Espagne fantasmée, une Espagne de théâtre, de cour et de danse, dans laquelle les jeunes Nobles se séduisent, disparaissent mais reviennent hanter la scène avant que Scarlatti ne vienne baisser le rideau avec grâce. (Thomas Herreng)

A unique coupling on record: a Romantic piano masterpiece with sonatas from the time of the paintings by Goya that fired the imagination of Granados to compose Goyescas. In his booklet essay, Jean-François Dichamp explains that he experienced an epiphany with Goyescas: while Granados himself later reworked his piano cycle into an opera, first premiered to acclaim at the Metropolitan Opera House, just a couple of months before the composer’s untimely death by drowning, the pianist sees the piano cycle as a through-written dramatic work in its own right: an opera for piano. He plays it accordingly, with tremendous fire and awareness of the voices which may be heard in pieces such as ‘The Maiden and the Nightingale’. This is the lyric heart of a cycle which opens with the courtly insinuations of ‘Galant Compliments’ and soon progresses to a more ardent love duet, ‘Conversation at the Window’. Finally, as so often in Spanish music, death has the last word, and the cycle closes with the Serenade to a Ghost: comical yet chilling, unnerving and quintessentially Spanish. Between each section of the Goyescas, like intermezzi at the opera, Dichamp places a Baroque keyboard sonata, by Scarlatti and Soler. This is the music that would have accompanied aristocratic evenings for the nobles who were immortalised – not always in complimentary terms – by Goya. These are the paintings that changed the course of Granados’s career when he first saw them as a young man in the Prado museum in Madrid, and determined that one day he would pay homeage to Goya’s muse in music. Jean-François Dichamp graduated from the Paris Conservatoire and became a pupil of Nikita Magaloff. His recordings have long attracted critical praise: ‘A pianist of great delicacy, subtle and elegant’ (Le Monde de la Musique); ‘his Chopin is at once thorough and profound’ (Diapason).

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