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Friedrich Schneider : Symphonie n° 16 - Ouvertures. Frank.
Format : 1 CD
Durée totale : 01:06:50

Enregistrement : 25-27/04/2017
Lieu : Zerbst
Pays : Allemagne
Prise de son : Stereo

Label : CPO
Référence : CPO555180
EAN : 0761203518029
Code Prix : DM021A

Année d'édition : 2019
Date de sortie : 03/07/2019

Genre : Classique
Friedrich Schneider (1786-1853)
Ouverture sur la Marche de Dessau, en ré majeur, op. 30
Gaudeamus igitur, Ouverture Festive, op. 84
Ouverture Tragique en do mineur, op. 45
Symphonie n° 16 en la majeur

Anhaltische Philharmonie Dessau
Markus L. Frank, direction

Le label allemand poursuit son voyage dans l’univers sonore de ce compositeur qui débuta une carrière d’organiste puis de pianiste. Profondément marqué par les œuvres de Mozart et plus encore de Haydn, Schneider synthétisa dans son écriture, les legs du classicisme et du préromantisme. On trouve ainsi, dans ses oratorios, comme Das Weltgericht (CPO) un sens de la solennité classique alors que sa musique symphonique (23 symphonies et 20 ouvertures) réalise le “grand écart” entre Mozart, Haydn, Mendelssohn et Rossini. Les airs circulent avec force et humour à la fois. Maître de chapelle du prince d’Anhalt-Dessau, Schneider acheva une ouverture en forme de marche qui possède toutes ces caractéristiques, y compris une certaine pompe italienne. A Dessau, il fonda une école de musique et on sourit à l’hommage bienveillant des présents interprètes de la ville du land de Saxe-Anhalt. Plus mendelssohnienne, sinon schumanienne avant l’heure par son caractère aussi pétillant qu’imprévisible, la Symphonie n°16 fut créée au Gewandhaus de Leipzig en 1819. Les vents s’y donnent à cœur joie, le Menuet regorgeant d’idées parfois disparates mais que dût apprécier le compositeur du Songe d’une nuit d’été lorsqu’il dirigea la partition de son confrère. On revient à Haydn et à Rossini dans le finale qui pourrait fort aisément s’insérer dans un ouvrage italien de l’époque ! Le sens mélodique est tout aussi affirmé dans l’Ouverture festive Gaudeamus Igitur ainsi que dans l’Ouverture Tragique. Hautbois et cor sont remarquablement bien servis dans la seconde partition, d’une veine toute beethovénienne avec son impressionnant motif fugué. Schneider emprunta des thèmes à ses étudiants pour son l’Ouverture de fête. Créée en 1830, la pièce pressent déjà l’écriture de Brahms ! Beau travail de l’orchestre et de son chef qui nous font découvrir un compositeur à l’écriture prémonitoire. (Jean Dandrésy)

During his lifetime Friedrich Schneider was regarded as »the respected head of the Northern German school« and was a musical institution in Central Germany. He was active as the court music director in Dessau from 1821 until his death, and for two reasons his fame during these years was considerable: because of his wholehearted support of Beethoven’s works and because of his own compositions – in particular his oratorios. Today his Weltgericht continues to be regarded as a link between Haydn and Mendelssohn. Schneider’s Symphony No. 16 displays majestic chords, and its movements of song character win over listening audiences with their charm and naturalness while also offering their share of surprises, mirth, and high spirits. In contrast to his symphonies, which all remained unpublished and were more frequently performed only in Dessau with the composer as their conductor, his overtures for a time enjoyed great popularity far beyond his home region. Apart from his opera preludes, Friedrich Schneider wrote a total of twenty overtures, three of which are heard here.

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