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Format : 1 CD Digipack Durée totale : 01:03:36
Enregistrement : 13-15/05/2019 Lieu : Karuizawa Pays : Japon Prise de son : Stereo
Label : Audite Référence : AUD20045 EAN : 4022143200457
Année d'édition : 2020 Date de sortie : 02/09/2020
Genre : Classique
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Antonín Dvorák (1841-1904) Sérénade pour orchestre à cordes en mi majeur , op. 22Piotr Ilyitch Tchaikovski (1840-1893) Sérénade pour orchestre à cordes en do majeur, op. 48
Balkan Chamber Orchestra Toshio Yanagisawa, direction
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 Assez peu connu, le BCO est né en 2007 en ex-Yougoslavie « pour le bénéfice commun des nouveaux états », et bénéficie depuis des faveurs des cercles diplomatiques et organismes internationaux qui se penchèrent sur son berceau. Outre ses activités à Belgrade, Sarajevo et au Japon l’orchestre se produit souvent dans les villes « onusiennes » (Vienne, Genève, New-York), au cours de ses « concerts pour la Paix Mondiale » en particulier. Voici en guise de carte de visite un couplage archi-classique. Dès la première phrase du Moderato initial, la sérénade de Dvorak constitue un défi redoutable : il faut y trouver phrasé et rythmes justes pour suggérer un lyrisme populaire malgré l’écriture plutôt sérieuse. Dans mon Panthéon personnel il y a Kubelik et Marriner, par exemple. Ici, tempo étiré et crescendos par paliers donnent à la musique un côté parfois agressif parfois collé au sol. Il faut dire que la prise de son très fouillée n’aide pas à l’allègement et contribue à une certaine sécheresse qui m’a plus fait penser, sans que je puisse vraiment dire pourquoi, à l’Adagio de Barber qu’à Dvorak. Tchaïkovski m’apparaît beaucoup plus réussi, mais Bychkov ou Marriner tiennent le haut du pavé. Il me semble que les audiophiles, plus que les mélomanes, seront sensibles aux arguments de ce disque. (Olivier Eterradossi)  Two of the most popular string serenades: Dvorák’s Serenade for Strings is full of melodic ideas and sensual melodiousness in a Bohemian tone. Tchaikovsky's Serenade for Strings is a sumptuous work, a 'symphony without winds' so to speak, and combines rococo elegance with great romantic gesture. The BCO was founded in 2007 by Japanese conductor Toshio Yanagisawa in order to foster understanding among the Balkan nations, shaken by ethnic conflicts. Since then, the BCO has served as a cultural bridge connecting people through music, for many years now also around the world.
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