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Brahms, Schubert : Œuvres pour piano. Bonamy.
Format : 1 CD
Durée totale : 01:13:32
Prise de son : Stereo

Label : Genuin
Référence : GEN88132
EAN : 4260036251326
Code Prix : DM019A

Année d'édition : 2008
Date de sortie : 30/06/2008

Genre : Classique
Johannes Brahms (1833-1897)
Fantaisies, op. 116
Rapsodies, op. 79

Franz Schubert (1797-1828)
Sonate D 850

Henry Bonamy, piano

Début discographique en force de ce jeun prodige français, disciple de Jacques Rouvier et de Brigitte Engerer au CNSM de Paris et partenaire musical de Marina Chiche, Wen-Sinn Yang ou Julia Fischer. Connu des mélomanes français après le CD découverte que lui a consacré Classica-Répertoire, Henri Bonamy se produit le 27 juillet prochain au Petit Palais, un concert retransmis en direct sur France Musiques.

Par ses talents multiples, Henri Bonamy s’est distingué sur des scènes internationalesprestigieuses et poursuit sa carrière à la croisée de diverses traditions européennes qui ont jalonné son parcours. « Pianiste au sommet » (Südwest Presse), « au jeu fluide, subtil, dosé et souple qui convient autant à la musique française qu’aux grandes constructions schubertiennes ou à la virtuosité lisztienne » (Piano Magazine), il a intégré en 2006 le programme « Déclic» de Culturesfrance et Radio France. Disciple de Jacques Rouvier, Brigitte Engerer au CNSM de Paris, de Dmitri Bashkirov à l’Escuela Reina Sofia à Madrid, puis d’Elisso Wirssaladze à la Musikhochschule de Munich, il est lauréat des Concours Internationaux de Genève, Erwin Nyiregyhazi(Japon), Alessandro Casagrande (Italie)...Le magazine Classica lui a consacré un CD découverte ainsi qu’une interview intitulée « l’Elégance européenne ». Il a également étudié la direction d’orchestre avec Bruno Weil et est diplômé de la Musikhochschule de Munich où cette carrière parallèle a pris son essor. Il est régulièrement invité en Suisse, en Roumanie et a dirigé en 2007 avec grand succès les Münchner Symphoniker et l’orchestre Saradjchvili à Tbilissi avec Elisso Virsaladzé en soliste. Il se produit à l’Auditorium National à Madrid, à l’Athénée à Bucarest, Salle Molière à Lyon, à l’Auditorium du Louvre à Paris et sous la direction, entre autres, de Jesus Lopez-Cobos, Andrey Boreyko - «Tonnerre d’applaudissements ...un événement mémorable. » pour le 1er Concerto de Brahms avec les Hamburger Symphoniker (Ostsee Zeitung). Parmi ses partenaires de musique de chambre figurent Marina Chiche, Wen-Sinn Yang, Julia Fischer. Il est l’invité d’importants festivals internationaux- Ludwigsburger Schloßfestspiele, Festival Menuhin de Gstaad, Festival de Hong-Kong, Festival Chopin à Paris, Piano à Riom…- et ses prestations régulièrement sont retransmises sur France Musiques, Bayern 4 Klassik. Il a reçu en 2007 le Prix de la culture EON.

Fidèle à l’impression qu’il a récemment laissée en concert, Henri Bonamy ne manque ni de talent ni d’engagement et, pour un interprète né en 1979, son jeu ne demande qu’à mûrir et se charger d’expérience pour retenir davantage l’attention. Comme on a pu le constater déjà, son Brahms paraît, en effet, manquer de moelleux et de profondeur : la frappe gagnerait à être plus habitée dans ces Capriccios de facture bien badine ou dans ces Intermezzos presque trop timides et qui ne laissent pas une impression durable. Mais la sensibilité que le jeune pianiste attache à Brahms est indéniable, touchante même. Livrant, dans la notice, sa «réflexion sur les œuvres», Henri Bonamy décrit sa fascination pour les épisodes de l’Opus 116, «leur concision, leur côté hermétique, (…) les liens organiques des pièces entre elles», tout en concédant que «dans ce répertoire où les implications psychologiques sont grandes, [son] but n’est pas de relever des éléments d’analyse, mais plutôt de transmettre des sentiments sincères». Donnons-en acte à l’interprète pour saluer, dans la même veine, les deux Rhapsodies abordées avec une franchise de ton revigorante, la frappe se faisant toujours trop dure et par moments trop sèche. Cette dernière critique s’applique également à la Sonate D. 850 de Schubert, prise vaillamment mais handicapée par un toucher prosaïque, qui occasionne un certain nombre de chutes de tension dans le Con moto alors que la délicatesse du jeu compense, dans l’Allegro vivace, un choix de tempo expéditif. La rythmique dansante du Scherzo convient mieux au style d’Henri Bonamy, très à l’aise également avec les transformations du Rondo.

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