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Peter Racine Fricker : The Vision of Judgement - Symphonie n° 5. Manning, Tear, Weir, Groves, Davis.
5 de Diapason
Diapason de juin 2016
Critique de Jean-Claude Hulot
Page n° 98
4 de Classica
Classica de mai 2016
Critique de Michel Fleury
Page n° 95
Format : 1 CD
Durée totale : 01:06:48

Enregistrement : 1976-1980
Pays : Royaume-Uni
Prise de son : Live/Studio / Mono/Stereo

Label : Lyrita
Référence : REAM1124
EAN : 5020926112422

Année d'édition : 2016
Date de sortie : 02/03/2016

Genre : Classique
Peter Racine Fricker (1920-1990)
The Vision of Judgement, op. 29, pour soprano, ténor, chœur et orchestre
Symphonie n° 5 pour orgue et orchestre

Jane Manning, soprano
Robert Tear, ténor
Gillian Weir, orgue
Leeds Festival Chorus
Donald Hunt, direction
Royal Liverpool Philharmonic Orchestra
Sir Charles Groves, direction
BBC Symphony Orchestra
Colin Davis, direction

Lorsque The Vision of Judgement parut dans le Leeds Town Hall le 13 octobre 1958, la critique ne s’y trompa pas : Peter Racine Fricker (1920-1990) avait finalement écrit son chef d’œuvre. Ce compositeur à part dans la vie musicale anglaise, dont l’art était attentif à des échos venus du continent – Stravinsky, la Seconde Ecole de Vienne, Hindemith – mettait en œuvre une langue acide mais ardente aussi, timbres crus, écriture violente, polyphonies roides. Tout cela éclate dans cet oratorio lapidaire et fulgurant, dont la syntaxe rugissante transporte littéralement l’auditoire du concert dirigé, il faut le souligner, avec génie par Charles Groves le 14 octobre 1980 : les chœurs de Leeds sont les autres héros de cette lecture abrasive qui rend justice à un opus sidérant par sa concentration et sa violence ; il faut entendre la folie de l’Alléluia final comme le brasier de la première partie. Jane Manning et Robert Tear emportent leurs parties avec la même flamme. En 1975, Fricker fit ses adieux à la symphonie avec une partition pour orgue et grand orchestre. La 5e symphonie, entendue ici dans le concert de sa création au Festival Hall le 5 mai 1976 sous les doigts de Gillian Weir, menée grand train par Colin Davis qui rapprochait sans cesse l’œuvre de Fricker de celle de Michael Tippett, coule ses trois mouvements d’un seul trait, musique radicale, dont le geste puissant laisse sans voix. Et maintenant Lyrita nous révélera-t-il les quatre autres symphonies et les deux splendides concertos pour violon dans des interprétations tout aussi splendides ? Il faut que les archives de Mr. Itter continuent à plaider en faveur du génie de Peter Racine Fricker. (Discophilia - Artalinna.com) (Jean-Charles Hoffelé)

Peter Racine Fricker was among the first composers in Britain to be influenced by the music of Béla Bartók, Arnold Schoenberg and Igor Stravinsky, assimilating aspects of their very different styles into a distinctive musical voice of his own. Unconcerned by the vagaries of musical fashion, he proceede d to build an impressive body of work in his highly expressive, urbane and freely atonal language. His catalogue, which exceeds 160 pieces in total, encompasses all the main genres with the exception of staged opera. The Vision of Judgement was first performed on 13 October 1958 at Leeds Town Hall as part of the Leeds Centenary Festival. The performance presented here is conducted by Charles Groves, who was familiar with the Frick er style, having taken up the composer’s First Symphony and performed it in one of his last concerts as conductor of the BBC Northern Orchestra and then introduced it in Bournemouth and on the Continent. Dedicated ‘to the many fine musicians with whom I have had the pleasure of working so happily in the Royal Festival Hall’, Fricker’s Symphony No.5 was premiered by organist Gillian Weir with the BBC Symphony Orchestra under Colin Davis on 5 May 1976 at the RFH in the presence of the composer. It was featured at the Proms on 11th August 1976 with the organist Jennifer Bate and the BBC Northern Symphony Orchestra under John Pritchard. Terse and direct, the score offers some grand gestures in its lively outer sections which are offset by eloquent dialogues between its two principal protag onists in the interludial central segment. Considerable tension is generated in the closing pages, which present an unbuttoned, euphoric display of bravura.

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