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Diapason de janvier 2017 Critique de Gaëtan Naulleau Page n° 102
Classica de mars 2017 Critique de Guillaume Bunel Page n° 78
Format : 1 CD Digipack Durée totale : 01:03:26
Enregistrement : 01/09/2015 Lieu : Bornem Pays : Belgique Prise de son : Eglise / Stereo
Label : Passacaille Référence : PAS1023 EAN : 5425004160232 Code Prix : DM021A
Année d'édition : 2016 Date de sortie : 25/11/2016
Genre : Classique
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Heinrich Schütz (1585-1672)Wol dem der den Herren fürchtet Eyle mich Gott zu erretten David Pohle (1624-1695)Vox Domini super aquas (version instrumentale) Johann Theile (1646-1724)Ach, daß ich hören solte Matthias Weckmann (1621-1674)Sonata quinta à 4 Sonata prima à 4 Christoph Bernhard (1627-1692)Aus der Tieffen Johann Vierdanck (1605-1646)Sonata à 3 tromboni e cornetto Alessandro Striggio (?1540 1592)/Johann Schop (?1590-1667)Nasce la pena mia Heinrich Schütz (1585-1672)/Christoph Kittel (1640-1680)O süßer Jesu Christ, wer an dich recht gedencket Vincenzo Albrici (1631-1696)Omnia quae fecit Deus Johann Schop (?1590-1667)Paduana à 6 Alice Foccroule, soprano Ensemble InAlto
Marie Rouquié, violon Gabriel Grosbard, violon Guy Hanssen, sacqueboute Olivier Dubois, sacqueboute Bart Vroomen, sacqueboute Anaïs Ramage, douçaine Justin Glaie, théorbe, basse de viole Marc Meisel, orgue Pieter theuns, archiluth Thomas Baeté, viole de gambe Anne Bernard, viole de gambe Eriko Semba, viole de gambe Lambert Colson, cornet à bouquin, direction
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InAlto invite décidément à prendre beaucoup de hauteur. Lambert Colson et ses musiciens ont décidé de rendre hommage à Heinrich Schütz en convoquant quelques-uns de ses disciples autour du maître ; c’est l’occasion d’une belle promenade musicale (bien documentée dans un livret trilingue complet de 48 pages) dont le centre de gravité est bien sûr l’Allemagne mais qui nous mène de l’Italie à la Scandinavie. De là, une homogénéité assurée mais surtout beaucoup de variété. L’occasion aussi de solliciter des instruments aux sonorités chaleureuses, et de mettre en valeur la voix limpide d’Alice Foccroule qui vient parfaire la douce lumière baignant les pièces retenues. Quand on aura dit encore que la prise de son est véritablement somptueuse et que ce projet est né d’un financement participatif, les musiciens ayant d’ailleurs accepté de jouer sans contrepartie financière, on en aura souligné toute la générosité communicative. Une réussite absolue qui témoigne du souci de perfection dont chacun fait preuve ici, réussite à laquelle l’auditeur s’associe en la savourant délicieusement. (Alain Monnier)
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