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Diapason de décembre 2017 Critique de Jean-Luc Macia Page n° 98
Format : 1 CD Durée totale : 01:17:47
Enregistrement : 25-27/09/2016 Lieu : Brême Pays : Allemagne Prise de son : Stereo
Label : Hyperion Référence : CDA68162 EAN : 0034571281629 Code Prix : DM022A
Année d'édition : 2017 Date de sortie : 04/10/2017
Genre : Classique
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Joseph Haydn (1732-1809) Concerto pour violoncelle en do majeur, Hob VIIb:1 Concerto pour violoncelle en ré majeur, Hob VIIb: 2Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) "La finta giardiniera", K 196Carl Philipp Emanuel Bach (1714-1788) Concerto pour violoncelle en la majeur, Wq 172Luigi Boccherini (1743-1805) Concerto pour violoncelle en sol majeur, G 480
Steven Isserlis, violoncelle Orchestre de Chambre Philharmonique de Brême
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Les versions des deux seuls concertos que Josef Haydn a dédiés au violoncelle sont légion, qu’il s’agisse des « classiques » ou de celles « historiquement informées ». Outre le choix du soliste et de l’orchestre, c’est aussi au complément de programme que l’on doit s’intéresser, car la durée de ces œuvres atteint péniblement 50 minutes. Plutôt que Monn, Pleyel ou Boccherini, c’est sur Carl Philipp Emanuel Bach que s’est porté, pour son 2ème enregistrement, le choix de Stephen Isserlis. Sur un Stradivarius monté en boyau et avec le soutien de l’excellente Deutsche Kammerphilharmonie Bremen qu’il dirige du violoncelle, Isserlis, l’un des tout grands de sa génération, nous emmène dans près de 80 minutes de bonheur : tempos enlevés mais sans aucune précipitation, sonorité riche et profonde, voici qu’apparaît l’esprit des œuvres dans tous leurs contrastes. En prime, la transcription d’un Aria de Mozart tiré de « La Finta Giardiniera » et un Adagio d’une infinie délicatesse provenant du Concerto en sol majeur (G.480) de Luigi Boccherini. Du très grand violoncelle pour un album absolument somptueux ! (Yves Kerbiriou) If the two Haydn concertos are the most accomplished contributions to the cello’s burgeoning repertoire written in the eighteenth century, the CPE Bach coupling is scarcely less fine. Two charmingly rococo encores complete this latest essential release from Steven Isserlis.
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