Louis-Claude Daquin (1694-1772)
Le coucou (2 versions)

Felix Mendelssohn Bartholdy (1809-1847)
Romance sans paroles, op. 67 n° 4

Frédéric Chopin (1810-1849)
Valse en fa majeur, op. 34 n° 3
Valse en sol bémol majeur, op. 70 n° 1
Mazurka en do dièse mineur, op. 6 n° 2
Mazurka en la bémol majeur, op. 50 n° 2

Robert Schumann (1810-1856)
Fantasiestücke, op. 12 n° 1 2 et 4
Des Abends
Traumes Wirren

Robert Schumann (1810-1856)/Franz Liszt (1811-1886)
Frühlingsnacht, S 568

Moritz Moszkowski (1854-1925)
Valse d'amour (Liebeswalzer), op. 57 n° 5

Christian Sinding (1856-1941)
Rustle of Spring

Claude Debussy (1862-1918)
Golliwogg's Cake-Walk
Minstrels
Masques
La cathédrale engloutie

Maurice Ravel (1875-1937)
Rigaudon

Rhené-Baton (1879-1940)
Fileuses près Carantec

Victor Staub (1872-1953)
Sous-bois, op. 6

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791)
Fantaisie en do mineur, K 475
Sonate n° 10 en do majeur, K 330
Sonate n° 11 en la majeur, K 331 "Alla Turca"
Sonate n° 8 en la mineur, K 310/ Emmanuel Chabrier (1841-1894)
Sous-bois
Idylle

Paul Dukas (1865-1935)
La plainte, au loin, du faune

Albert Roussel (1869-1937)
Sicilienne

Lazare-Lévy (1882-1964)
20 Préludes (extrait)
Valses

François Couperin (1668-1733)
Les Lis naissans
Les rozeaux (2 anciennes)

Franz Schubert (1797-1828)
Impromptu en la bémol majeur

Victor Staub, piano
Lazare-Lévy, piano

Cet album, réunit les témoignages (de 1927 à 1955) de deux éminents représentants de ce que l’éditeur nomme “The French Piano School”. Le remarquable texte de présentation de Frédéric Gaussin revient en détail sur le parcours des deux artistes qui formèrent tant de disciples. Victor Staub (1872-1953) composa, enseigna, édita et mena une carrière de soliste (il fut, par exemple, l’unique pianiste français jouer sous la direction de Mahler). Les archives de la firme Odéon (1927-1929) témoignent de la souplesse de son toucher. Une seule prise pour chaque courte pièce implique quelques (rares) notes à côté. Bien peu de choses en regard d’un jeu aussi fluide et lyrique. Les pianistes possédaient alors le goût du risque, qui fait souvent défaut de nos jours… Remplaçant de Staub au Conservatoire de Paris, Lazare Lévy (1882-1964) avait enseigné à l’Ecole normale de musique fondée par Alfred Cortot. Son legs est immense et l’énoncé du nom de ses disciples donne le vertige. Les captations sont logiquement plus nombreuses que celles de Staub. Le répertoire de ce soliste à la carrière exceptionnelle est considérable. Son art du chant est bien différent de celui de Staub. Il privilégie l’équilibre, le legato, la subtilité du jeu de pédale. Une leçon de piano et plus encore de musicalité. (Jean Dandrésy)

This is the second release in an important new APR series devoted to the French Piano School. For around 150 years France has nurtured a distinctive style of pianism centred on the teaching of the Paris Conservatoire. The heyday of the school was probably the first fifty years of the 20th century and this series of recordings aims to explore in depth the often-forgotten recordings made at this time. Victor Staub (1872-1953) and Lazare-Lévy (1882-1964) were both students of Louis Diémer at the Paris Conservatoire in the latter part of the 19th century and both were to follow in his footsteps as great teachers in that institution and elsewhere. Indeed, their list of pupils reads as a roll call of 20th century French pianists. However, they were also extremely fine pianists and this set presents, for the first time, their complete studio recordings. The Staub titles are almost forgotten and none have every been reissued before. Also all but unknown, is the 7” Crown LP Lazare-Lévy recorded on the ‘Siena pianoforte’ in Israel in 1951. As one would expect, clarity, brilliance and refinement are much to the fore in these exemplars of the French School.